Condition de voitures, fissures de ponts, embouteillages de routes, alarmes de foyers, niveaux d’eau dans des rivières…Tout types de surveillance sera possible dans un proche avenir. Les plus optimistes des optimistes pensent qu’il aura un trillion chose connectés en 2025. Il s’agit probablement d’un trillion anglophone, qui égale mille milliard ou environ 100 capteurs par personnes sur la terre.
Comment les identifier ? Les numéros de téléphone tels
que nous les connaissons ne suffiront pas. Il faut au moins 9 chiffres. Voila
un des nombreux problèmes logistiques à résoudre.
Ce chemin de développement est devenu possible par le fait
que le volume d’électronique moderne est presque inexistant et que la fabrication
en masse les ont rendu peu chère. Les composants les plus coûteuses dans un
téléphone portable d’aujourd’hui sont l’écran, les touches et la batterie. De la
poussière intelligente n’a pas besoin d’écrans ni touches et les
petites puces qui captent des choses et assurent la communication et ne coutent
presque rien.
Pourtant, le maillon faible est que ces grains de poussière auront
tous besoin d’énergie. C’est un des raisons pourquoi nous n’avons pas encore
des panneaux de limite de vitesse adaptés aux conditions des routes. Il y a simplement
un manque d’électricité le long le parcours.
Des solutions sont envisageables mais avant qu’ils ne soient
réalisables, il y a des progrès technologiques à faire.
Une piste possible est panneaux solaires mais les plus
efficaces, basés sur silicium, sont trop chère. Des alternatives bien marchés
existent, par exemple fabriqués avec polymères ou dioxyde de titan, mais ils n’ont
que la moitié du rendement et se dégradent plus vite. En plus, il faut des
batteries pour prendre le relais quand il n’a plus de lumière mais celles avec
la plus haute densité énergétique sont coûteuses.
Vibrations, variations barométriques et température d’air
sont autres sources envisageables. La chasse pour récolter énergie est en plein
boom.
À cause du problème énergétique, je n’en crois pas trop à la
petite taille de la poussière. Pourtant, il existe pleins d’applications
potentielles où la taille n’est pas le facteur limitant. Un exemple est des
capteurs pour mesurer le remplissage dans des bennes de triage. Dans ce cas il
y a de la surface pour panneaux solaires. Il est donc envisageable d’utiliser
des panneaux de faible rendement. Ces appareilles rendra possible d’éviter que
des camions font des tours pour vider des bennes demies pleines qui vaudra
beaucoup d’économie.
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