Des voitures autonomes ne sont plus une vision mais sur le seuil d’une percé réelle. C’est-à-dire que presque toute la
technologie nécessaire a été développée mais que la législation indispensable
n’est pas encore en place.
Un rapport
américain constate que des véhicules autonomes offrent d'avantages importants pour la société mais qu’elles
aussi soulèvent plusieurs défis
politiques, y compris la nécessité de mettre à jour une réglementation et clarifier
les responsabilités. De protéger les renseignements dans
tous les bases à donnés que le système va crée est aussi important.
Les avantages sont entre autres moins
d’accédants, moins de congestions et moins de consommation de carburant. Étrangement il n’est pas mentionné que les conducteurs, (qui ne le sont plus),
auront du temps libre pour par exemple lire un livre.
Donné qu’il faut environs 14 ans pour
renouveler la flotte, l’introduction sera par nécessité graduelle. Pourtant,
une fois que tous les véhicules seront équipés s’ouvre la possibilité de
communication en grand échelle de véhicule-à-véhicule.
Il est dans ce contexte que les chercheurs
maintenant s’intéressent à l’étrange phénomène de poissons qui nagent en bancs.
Comment, avec leurs petits cerveaux, sont-ils capables d’éviter de
collisions ?
Un autre problème d’autonomie est les petits
véhicules aériens qui en filant
sur les toits pourront livrer des colis.
Ils sont déjà en cours de développement mais pour leur
bon fonctionnement ils doivent impérativement être capables d’éviter des obstacles. Peut-être que les bourdons,
malgré le fait que leurs cerveaux ont la taille d’un grain de riz, peuvent nous
apprendre comment.
Lorsque les insectes volent
à travers un champ de fleurs qui
continuellement bougent, ils sont forcés de continuellement changer de cap et de vitesse. Pour éviter collisions ils font
les manœuvres les plus incroyables.
Chacune Bourdon est marquée
avec un morceau de plastique
numéroté. Pour cette opération ils sont capturés dans un piège.
La recherche sur l’art de naviguer des bourdons
est en cour. Elle est de type fondamental mais l’application est claire : La connaissance sur les
données que ces insectes utilisent pour ralentir et girer entre
obstacles peuvent être convertie en modèles mathématiques qui sont des systèmes que les robots peuvent
comprendre.
Les robots volants actuels sont seulement utilisables en grands espaces ouverts, tels que champs d'agriculture.
Leur utilisation dans d'autres
environnements plus complexes est
impossible.
Pour découvrir le
secret des insectes, des
centaines de bourdons ont été logés
dans un laboratoire. La première étape est de les apprendre à voler à travers
un long tube vers un petit bol de sucre. Puis, ils doivent faire la même chose avec
divers degrés de lumière et obstacles. Des caméras à haute vitesse enregistrent leurs mouvements.
À part des livraisons de pizza et d’autres
objets de consommation les applications potentielles sont nombreuses. Il serait
par exemple très utile de transporter des tests de sang entre
cliniques et laboratoires en air au lieu par voiture. Une autre application serait des robots capable à pénétrer et sonder un zone sinistrée avant que les sauveteurs y
entrent.
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