La Suède, un pays qui aime les droits d’homme ?

Les suédois aime penser à leur pays comme non-aligné, neutre et avec une forte implantation dans des actions humanitaire. L’image est fausse. En réalité ils n'hésitent pas à fournir le monde avec des machines infernales et peu humanitaires. Un exemple est les avions de chasse récemment vendus au Brésil, pour environ 3 milliards euros.

En 2010 et 2011 et si compté par habitant, la Suède a été le plus grand exportateur d'armes au monde. Le plus grand du monde ! Évidemment, cela n’est pas compatible avec l’image d’un peuple qui aime apparaître comme défenseur de la paix et fournisseur d’aides humanitaires. En effet il est évidant que le pays est truffé de marchands d'armes peu scrupuleux.

Les armes suédoises sont utilisées dans des zones de conflits comme la Birmanie, la Colombie, le Pakistan, l'Irak, l'Afghanistan et la Somalie. Malgré le fait que les exportations d'armes sont sous restrictions décidés par le parlement, l’exportation continu aussi aux pays avec de graves violations de droits d’hommes, tels que le Pakistan et la Thaïlande et aux dictatures comme l'Arabie saoudite et les Émirats !

D’oublier l’aspect moral et facile quand ces ventes apportent des revenus et créent du travaille. En réalité la Suède exporte plutôt de la puissance de feu que des droits d'hommes.

Mais, de la morale corrodé ne s’arrête pas là. Les leaders politique aiment parler de la liberté en ligne et de montrer une image de la Suède comme un important défendeur d’Internet libre.

Pourtant, dans les coulisses il y eu une étroite coopération avec l'agence d'espionnage américaine NSA. Selon les documents de Edward Snowden, cette structure ne se content pas d’uniquement écouter, elle craque aussi cryptages et installe des logiciels de espionnage. Le fait qu’il existe une écoute de masse orwellien, dont la Suède est un des acteurs clé, tout en contradiction avec les paroles des politiciens, rend les paroles sur un Internet libre vides.

L’histoire comme défenseur de droits d’hommes n’est pas très glorieux non plus. Le 22 Janvier 1932, habillé en bottes, laisses et un brassard avec la croix gammée, le leader suédois du partie nazi prononçait un discours pour 6000 personne assemble sur un place centrale en Stockholm. La Suède avait dix ans plus tôt ouvert le premier institut public du monde d’eugénisme. Cela suite à un vote quasi unanime du Parlement. « Il était nécessaire pour éviter l’insertion de races étranger dans le corps nordique ».

L’image et la réalité sont deux choses différentes.