Printemps silencieux et le paludisme
Le paludisme est une très mauvaise maladie. Je l’ai connu personnellement. La fièvre, très haut, arrivait tout d’un coup et il fallait vite trouver un lit. Heureusement mon cas était «léger». Je n’avais pas des frissons et quand je me réveillais, quelques heures plus tard, la fièvre était partie mais le corps se sentait comme après un cours de marathon.
Les périodes entre les crises se sont
prolongés et après environ 10 ans le système immunitaire avait réussi de
combattre la maladie. Cela est normal au moins qu’on ne soit pas infecté à
nouveau.
Cette année il y a 50
ans que Rachel Carson a publié son
livre d’avertissement sur les produits chimiques dans la nature, printemps
silencieux.
Un critique du livre a récemment été publié
aux États-Unis, Silent Spring at 50: The False Crises of Rachel Carson.
L'éditeur du livre argumente qu’il n'est
pas poli de parler de gens bruns
et noirs qui meurent pour que les blancs en Amérique se sentent plus à l'aise, quand les bruns et les noirs ne peuvent pas utiliser le DDT.
Dans son livre Rachel
Carson décrit comment le DDT s’accumule dans la chaine
d’alimentaire et que se sont les organismes sur le top de la chaine qui
souffrent le plus, notamment les oiseaux de proie. Heureusement le DDT se décompose lentement mais il faut 15 ans
pour le réduire à la moitié. Même s’il maintenant est interdit dans nos pays,
il est encore présent dans la nature.
Le DDT est un très efficace tuer d’insectes.
Dans la lutte contre le paludisme il a pendants
une période produit des résultats très encourageantes. C'est
dans ce contexte que les gens brunes
et noires figurent dans la discussion. Tout d'abord,
le DDT est encore utilisé dans les zones touchées. Le paludisme tue environ 800 000 personnes par ans,
principalement enfants et à 90% dans des
pays sub-saharienne. Quelques
milliers de tonnes de DDT par an sont rependu
pour tuer les moustiques dans ces régions.
Cela peut sembler beaucoup, mais il n'est rien comparé aux les énormes campagnes menées par l'OMS au cours des années 60–70. Ensuite, ils avaient presque réussi d’éradiquer le paludisme en Inde. Pourtant, comme Rachel Carson avait prédit, les moustiques ont développé une résistance du DDT et les cas de paludisme augmentaient bientôt.
Heureusement il existe maintenant d’autres
méthodes, notamment biologiques, pour combattre les moustiques.
Une autre moyenne est les smartphones.
Ce qui avant nécessitait la préséance d’un médecin peut maintenant être fait par d'autres.
À part d’un téléphone intelligent toutes dont ils ont besoin sont un petit morceau de papier, une petite goutte de sang et un microscope. Cette méthode rend possible de très
vite identifier, isoler et traiter les victimes. Sur les lieux testés les cas
de paludisme ont abaissé d’une manière
drastique.
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