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mardi 9 octobre 2012

Le vendeur ambulant


Un vendeur ambulante a plusieurs lieux à visité. N’importe s’ils sont sur l’échelle d’un pays ou une ville, le problème est le même. Comment choisir le plus cotre chemin ? 

Par une combinaison d’intuition et réflexions le cerveau humain est capable à résoudre le problème si les lieux ne sont pas trop nombreux. L’intuition nous dit que le meilleur chemin toujours doit former un genre de contour. Une ordinateur ne voit pas le problème de la même manière qui rend le calcule difficile. Il existe des algorithmes mais quand le nombre de lieux augment ses solutions devient incroyablement lourdes. Des livres ont été écrits dessus.

La brute force de calcule est naturellement toujours possible. Si les lieux sont 5 un ordinateur peut facilement comparer tout les options. Pour le première lieu il y a 5 possibilités, pour le second 4 et cetera. Le nombre total est donc 1x2x3x4x5 = 120, (la factorielle de 5 qui s’écrit 5!), cela n’est rein pour un ordinateur. Cependant, déjà pour 10 lieux le nombre augmente à 3 628 800 possibilités !    


Les abeilles et les bourdons qui visitent plusieurs fleurs pour chercher du miel sont confrontées du même souci. Grâce à une nouvelle étude nous savons maintenant qu’ils sont capables d’optimiser le chemin volé. Pourtant, leurs cerveaux ne pèsent qui milligrammes.   

Un certain nombre de bourdons étaient équipés de transpondeurs de petites tailles et suivi par radar entraînant des cartes de leurs parcours. Ils devraient passer 5 fleurs artificielles chargés d’une solution de sucre. Pour s’assurer qu’ils visitaient toutes les 5 fleures chaque charge offerte n’était qu’un cinquième de ce qu’un bourdon peut porter. Des caméras sensibles aux mouvements à chaque fleur servaient à exclure ceux qui trichaient et ne faisaient pas toutes les visites.

Les bourdons étaient lancé un par un. Pour les premières vols ils visitaient les fleurs dans une manière erratique en volant entre des «nouveaux» fleurs et les déjà visitées. Au total leurs tours étaient d’environs 2 km.

Mais après plusieurs tentatives les bourdons commençaient de prendre des chemins plus optimisés. A la fin d'expérience ils avaient réduit leurs trajectoires de près de 80%, à 458 mètres pour être précis.

Avant cette étude les chercheurs pensaient que ce type d'apprentissage sophistiqué seulement serait possible pour des animaux ayant un cerveau beaucoup plus volumineux.

2 commentaires:

  1. le cerveau ne fait peut-être pas tout.
    les différentes phases de developpement des insectes leur permettent peut-être d'accumuler des "savoirs" d'une autre manière ?
    si mon cerveau n'était pas aussi paresseux, j'irais à la pêche aux informations sur ce sujet .
    et si mon cerveau était plus performant ,je me lancerais dans cette étude moi-même!!

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  2. Parfois en face d'un dispositif numérique je sens que c’est la mémoire de muscles des doigts qui me guide à composer la bonne combinaison. Néanmoins je crois qu’au bout de fil c’est une décision pris par le cerveau.

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