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mercredi 10 octobre 2012

Brioche à la cannelle

La consommation de produits pâtissiers était pendant long temps réservé aux familles royales et d’autres hauts dignitaires. Le sucre était cher et qui pouvait s’offrir le incroyable luxe de jeter 30% de la graine du blé pour produire de la farine blanche. Les gens simple magnaient le pain complet au levain. Il n’était que vers la fin des années 1800 que les goutés sucrés est devenu un moyen de jouissance pour tout le monde et premièrement seulement pour des fêtes. 



L’autre fois les gens ne pouvaient pas montrer leur bon niveau de vie avec des gadgets électroniques. Les aliments chers comme sucre, crème, beurre et farine blanche étaient des écrans plats de l’époque. Avant les années 50 ces ingrédients étaient seulement consommés par ceux qui avaient de l'argent.

Le boom de la brioche à cannelle est due aux le enrichissement de la population. Il y avait aussi une génération de femmes au foyer qui avaient le temps de le faire. Les tables du café se remplissaient de pâtisseries de toutes sortes. Surtout, chaque ménage devrait montrer qu’il savait bien faire les brioches à la cannelle.

Les boulangeries produisaient aussi les brioches à cannelle. En 1952 elles coûtaient 0,01€ par pièce, aujourd'hui, elles coûtent au moins 1 €. La recette et inclus dans tous livres sur pâtisseries.

Quelques-uns les font encore à la maison mais la plus part des gens n’ont pas le temps. Une collègue femme m’a une fois, larmes aux yeux, raconté que sa fille dans une querelle du matin avait réclamé une mère qui savait faire des brioches à la cannelle. Il vaut mieux les acheter mais des mauvaises copies sont nombreuses et emballées en plastique vendus dans des stations d’essences. Celles d’IKEA ne sont gère mieux.

La population suédoise est convaincue que les brioches à la cannelle sont très suédoises. Pourtant, elles sont remplies de produits importés et la tradition ne date que quelques décennies.

Pour ma parte je suis heureux d’être loin des ces pâtisseries car mon goût est vers la rustique, le non-raffiné.

Je me demande aussi si c’est mon statue comme étranger, = étrange, qui fait que je me sens moins forcé de par politesse grignoter un biscuit lorsque je suis invité pour un café, ou si ce comportement est plus toléré en France. En tout cas il est agréable.


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