Pages

mardi 23 octobre 2012

Les monstres qui vivent avec nous

Dans un musé de Stockholm le photographe John Hallmén a ouvert une exposition sur les monstres qui vivent tout atour de nous.

   Mouches à toison

Ces mouches sont des prédateurs et se nourrissent en sassant et aspirant les nutriments d’autres insectes qu'il attrape. Les larves vivent dans le sol et sont également carnivores.

 Lestes sponsa, Leste fiancé, une espèce de demoiselle

Les larves et les adultes sont des prédateurs extrêmement voraces. Les larves, qui vivent dans l’eau, mangent tous animaux égale ou inférieure à son taille et même leur propre espèce. Les adultes mangent toutes sortes d'insectes qu'ils attrapent.

  Diprionidé

Les diprionidés sont des petits et robustes insectes. Les mâles ont des antennes plumeuses avec laquelle ils capturent les phéromones des femelles, qui ont des antennes dentelés. Comme larves ils vivent sur ​​les conifères, souvent en grandes groupes. Plusieurs espèces vivent sur ​​les pins, d'autres se nourrissent sur sapins ou genévriers. Certaines sont des ravageurs forestiers et leurs larves attaquent parfois en grande nombre les jeunes plantes.


Favorablement pour nous, ces monstres ne peuvent pas attendre des tailles important. Les plus gros insectes du monde mesures moins qu’un demi-mètre. C’est la stabilité mécanique qu’est leur faiblesse car ils n’ont pas des ossements comme nous. Au lieu, comme les voitures modernes, leur construction est basé sur des coques. Ce principe est connu pour être économique en matériaux mais aussi sensible aux charges ponctuelles.

Un autre principe physique fondamental joue aussi. De changer la taille d’un insecte n’est pas sans complications structurelles et fonctionnelles. Supposons qu’un cafarde aurait notre taille, environ 100 fois plus gros. La masse augmenterait dans ce cas avec un facteur 1 000 000, (100 x 100 x 100), mais la surface de section transversale des jambes seulement avec le facteur 10 000, (100 x 100). Les jambes ne pouvaient pas supporter cette masse. De même, sa capacité à absorber de l'oxygène à travers la surface extérieure serrait aussi un facteur 100 moins que nécessaire.

Heureusement pour nous !

Qui a dit que les principes physiques ne sont pas divins !

2 commentaires:

  1. il existe quelques films d'horreur avec pour thème des insectes géants.
    je n'irais certainement pas les voir.
    heureusement, tu viens de démontrer que ces créatures là ne peuvent pas exister!
    ouf!
    libellules ,araignées ,papillons et autres sont très jolis et même passionnants tant qu'ils restent en petit format.
    pourvu que personne n'ai l'idée de fabriquer des araignées géantes pour produire des fils solides!!

    RépondreSupprimer
  2. Un raison d’être, même si on est très dépressive,est que nous ne sont pas des insectes. Pourtant, je n’ai jamais entendu parler que les psychologues avance cette argument aux leurs patientes !

    RépondreSupprimer

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.