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lundi 10 septembre 2012

Pronom personnelles


Les études de langues ne me intéressait gère comme étudiant. J’avais naturellement compris qu’elles sont nécessaires mais une dyslexie rendait tout apprentissage difficile et les sciences, plus faciles, ont attiré toute mon attention.



Mais, les choses n’était pas si faciles, 3 langues étrangère obligatoires aussi dans l’orientation scientifique dans le lycée ! En raison d’un travail énorme, et plein de grincement des dents, afin d'éviter des échecs dans ces sujets, la forte prise du fantôme dyslexique commençait de s’alléger. Normal, disait le psychologue de l’école, on peut la compenser.  

Anglais et allemand était nécessaires pour les études supérieures. Le français n’était donc pas présent dans mon quotidienne, sauf comme un diffus défi dans la tête. Il fallait la conquérir.      

Donné plus de temps a cause de mon retraite, j’essaye maintenant d’apprendre à l’écrire. L’autographe et les règles grammaticales sont les premiers obstacles et je lutte encore avec eux. L’étape suivant est de façonner le texte. Pour un journaliste il est un savoir faire pour un auteur il est un art. Inspiré par une copine qui assiste à un atelier d'écriture, j’ai me suis donné un peu de temps pour regarder de quoi il s’agit. Comme toujours, internet est plein d’information. Voici que j’ai trouvé sur les prénoms personnels.

Usage de prénommes personnelles :

Les pronoms personnels sont toxiques. Tous les bons auteurs l’ont compris et ils font beaucoup d’attention avant d’ouvrir un texte avec il, elle ou ils. Ne rien est interdit mais avant de violer ce bon règle il faut savoir que leurs puissances sont telle qu’ils marquent tout qui suive. Il…..comme le premier mot d’un texte identifie le personnage principal en un seul mot !  

Dans beaucoup de contextes il est inapproprié de commencer une phrase avec le pronom je. Il faut également bien penser sur l’utilisation des nous et eux, pour ne pas mentionner les tracas de vous et tu. Le on français est aussi particulier. Dans un langage familier il peut signifier nous et dans un langage encore plus intime même je. Pour bien l’employer la grammaire ne suffi pas, il faut aussi savoir les codes sociales.

Le problème avec d’autres classes de mots, par exemple les prépositions, n’est pas de tout sur la même ampleur. Le charge émotionnelle d’une préposition est presque nul, il suffi de suivre les conventions.

Un pronom personnel signale une connaissance et donc une certaine intimité. Quand nous écrivons il ou elle, il est sous attendu que le lecteur sait à qui nous faisons référence, la présentation est redondant. Voila la difficulté de commencer un texte avec il ou elle. L’absence de la connaissance met le lecteur dans l’air libre et pour ne pas le rendre encore plus confuse, il faut que la présentation qui suive soit précise et bref.

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