Pronom personnelles
Les études de langues ne me intéressait gère comme étudiant. J’avais naturellement compris qu’elles sont nécessaires mais une dyslexie rendait tout apprentissage difficile et les sciences, plus faciles, ont attiré toute mon attention.
Mais, les choses n’était pas si faciles, 3 langues étrangère
obligatoires aussi dans l’orientation scientifique dans le lycée ! En raison d’un travail énorme, et plein
de grincement des dents, afin d'éviter
des échecs dans ces sujets, la forte prise du fantôme dyslexique
commençait de s’alléger. Normal, disait le psychologue de l’école, on peut la
compenser.
Anglais et allemand était nécessaires pour les études supérieures.
Le français n’était donc pas présent dans mon quotidienne, sauf comme un diffus
défi dans la tête. Il fallait la conquérir.
Donné plus de temps a cause de mon retraite,
j’essaye maintenant d’apprendre à l’écrire. L’autographe et les règles
grammaticales sont les premiers obstacles et je lutte encore avec eux. L’étape
suivant est de façonner le texte. Pour un journaliste il est un savoir faire
pour un auteur il est un art. Inspiré par une copine qui assiste à un atelier
d'écriture, j’ai me suis donné un peu de temps pour regarder de quoi il s’agit.
Comme toujours, internet est plein d’information. Voici que j’ai trouvé sur les
prénoms personnels.
Usage de prénommes personnelles :
Les pronoms personnels sont toxiques. Tous les bons auteurs l’ont compris et ils font
beaucoup d’attention avant d’ouvrir un texte avec il, elle ou ils. Ne rien est interdit mais avant de
violer ce bon règle il faut savoir que leurs puissances sont telle qu’ils
marquent tout qui suive. Il…..comme le
premier mot d’un texte identifie le personnage principal en un seul mot !
Dans beaucoup de contextes il est
inapproprié de commencer une phrase avec le pronom je. Il faut
également bien penser sur l’utilisation des nous et eux, pour ne pas mentionner les tracas de vous et tu. Le on français est aussi particulier. Dans un langage familier il peut
signifier nous et dans un langage
encore plus intime même je. Pour bien
l’employer la grammaire ne suffi pas, il faut aussi savoir les codes sociales.
Le problème avec d’autres classes de mots, par exemple les prépositions,
n’est pas de tout sur la même ampleur. Le charge émotionnelle d’une préposition
est presque nul, il suffi de suivre les conventions.
Un pronom personnel signale une connaissance et donc une certaine intimité. Quand nous écrivons il ou elle, il est sous attendu que le lecteur sait à qui
nous faisons référence, la présentation est redondant.
Voila la difficulté de commencer un texte avec il ou elle. L’absence de
la connaissance met le lecteur dans l’air libre et pour ne pas le rendre encore
plus confuse, il faut que la présentation qui suive soit précise et bref.
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