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jeudi 13 septembre 2012

Comment corrompre sans corrompre


La recherche dans l’industrie pharmaceutique est douteuse. La cause est simple. Les médicaments qui guérit ne sont pas rentable car ils sont moins utilisés que ces qui soulage les symptômes.



Les vrais pactoles sont les médicaments que les patients doivent prendre pour le reste de leurs vies. Des nouveaux antibiotiques, désespérément nécessaires ne sont plus développés. Cela en fort contraste avec le développement des nouvelles maladies qu’il absolument faut traiter. Mélancolie ?

Ils ne sont pas les seuls facteurs douteurs dans cette industrie. Quand il s’agit de corruption ils sont justes sur la ligne légale.

«Excursions passionnantes, visites des caves à vins et la ville avec ces éléments culturels

Il n’est pas une citation d'une brochure de voyage mais en fait tirée d'une invitation à une conférence par la pharmaceutique Sam Nordique, envoyé à des médecins suédois. Il s’agit d’un voyage de groupe au Cap en Afrique de sud. Cependant, l’invitation ne contient aucune information sur les sujets de la conférence. Un employeur d’un médecin l’a accepté. La note, payée par l’argent publique, était d’environ 2 200 €.

Un autre exemple :

«Nous invitons à un programme culturelle somptueux. Malaga est l'endroit idéal pour mélanger la science avec la culture, les sports et le divertissement

Plusieurs cas d’offres de voyages payé par l'industrie pharmaceutique ont été révélés en 2004. L'année suivante, les pouvoir publique suédois et l'industrie pharmaceutique se sont mis d’accord sur des nouvelles règles qui entre autre stipulent que l’employeur des médecins paye 50% du coût du voyage, généralement le vol et l'hébergement. Les compagnies pharmaceutiques paient le reste qui aussi inclut le coût de la conférence où des dîners et des soirées de divertissements souvent font parties.

L’industrie pharmaceutique est sale et finalement c’est nous qui payons. Il vaut mieux mettre une main publique forte dans cette activité.

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Autrefois je voyageais moi-même beaucoup aux conférences internationales, le tout payé par mon employeur. Pourtant, dans ces cas il était toujours les présentations qui intéressaient mais supérieures. Surtout, il fallait s’informer, (espionner), sur la technologie des concurrentes. Des visites dans une fabrique ou une institution de recherche faisaient suivant aussi partie, comme une soirée plus relaxantes.

À Paris nous étions une fois invités au Lido, «un cabaret connu pour son joie de vivre». Des femmes demi-nu, est-ce vraiment intéressantes, peut-être ? Des plumes en faisaient partie mais ce qui m’a mauvaisement estomaqué était le nom du spectacle, danse aztèque. Il n’avait naturellement rein à faire avec les aztèques et de propager des préjugés ou falsifier l’histoire n’est pas de mon goût.

1 commentaire:

  1. oui, le monde fonctionne d'une manière assez ecoeurante.
    tous les moyens sont bons,à tous les niveaux de la société ,pour "faire du pognon".

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