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dimanche 18 octobre 2015

Les robots doivent ressembler aux machines



Le plus un robot ressemble à une personne, le plus nous l'aimons. Cependant, ce sentiment a des limites. Quand un robot, en apparence et en mouvements, devient si semblable à un humain que une confusion est possible, ce sentiment se transforme en dégoût.

Ce tournant, lorsque le robot se transforme de mignon à odieux, est un phénomène appelé la Vallée dérangeante. Le fait que nous percevons un robot comme presque humain, rend l'interaction moins efficace. À cause de ce problème beaucoup de chercheurs d'aujourd'hui cherchent à créer des robots qui peuvent avoir de traits humains mais qui nous ne ressemblent pas exactement.

Cependant, seulement les gens qui sont en bonne santé et ont une fonction sociale normal aperçoivent la limite où la Vallée dérangent commence un peu près du même façon. Pour une personne atteinte d'autisme, ou une personne atteinte de démence avancée, la frontière entre un comportement humain et un comportement robotique, la Vallée dérangent, est une autre. Même des tous petits traits humains peuvent dans ces cas perturber.

Des exemples de traits humains sont par exemple évolutions rapides des expressions faciales, des gestes, des voix modulées, des rire spontanés ou mouvements inattendus. Tous ces comportements « humains » peuvent effrayer des personnes mentalement fragilisé.

Stephen Hawking et d’autres nous ont averti que la singularité technologique se approche, c’est-à-dire quand l’intelligence artificielle devient plus fort que l’intelligence humain. Pourtant, les jours quand les robots peuvent s’introduire dans nos vies émotionnelles semble plus proche. Il faut que les robots restent des robots.

Testez Eliza, psychologue en ligne

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