Le plus un robot ressemble à une personne,
le plus nous l'aimons. Cependant, ce sentiment a des limites. Quand un robot, en
apparence et en mouvements, devient si semblable à un humain que une confusion
est possible, ce sentiment se transforme en dégoût.
Ce tournant, lorsque le robot se transforme de
mignon à odieux, est un phénomène appelé la Vallée
dérangeante. Le fait que nous percevons un robot comme presque
humain, rend l'interaction moins efficace. À cause de ce problème beaucoup de
chercheurs d'aujourd'hui cherchent à créer des robots qui peuvent avoir de
traits humains mais qui nous ne ressemblent pas exactement.
Cependant, seulement les gens qui sont en
bonne santé et ont une fonction sociale
normal aperçoivent la limite où la Vallée dérangent commence un peu près du
même façon. Pour une personne atteinte d'autisme,
ou une personne atteinte de démence
avancée, la frontière entre un comportement humain et un
comportement robotique, la Vallée dérangent, est une autre.
Même des tous petits traits humains peuvent dans ces cas perturber.
Des exemples de traits humains sont par
exemple évolutions rapides des expressions faciales, des gestes, des voix modulées, des rire spontanés ou
mouvements inattendus. Tous ces comportements
« humains » peuvent effrayer des personnes
mentalement fragilisé.
Stephen Hawking et
d’autres nous ont averti que la singularité
technologique se approche, c’est-à-dire quand l’intelligence artificielle
devient plus fort que l’intelligence humain. Pourtant, les jours quand les
robots peuvent s’introduire dans nos vies émotionnelles semble plus proche. Il
faut que les robots restent des robots.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.