Que beaucoup de produits chimiques est
utilisés dans la production de vêtements est bien
connue. Combien qui reste dans les vêtements vendu est moins claire. Une thèse écrit
par Giovanna Luongo, jette lumière sur le sujet.
Des milliers de produits chimiques ont été trouvé dans une analyse de 60 vêtements, achetés chez des chaînes suédois et internationaux. La première analyse c’est concentré sur une centaine. Beaucoup de ces produits chimiques ne sont pas dans les déclarations des fabricants et sont soit des résidus de la fabrication, soit ajoutés pendant le transport.
Des milliers de produits chimiques ont été trouvé dans une analyse de 60 vêtements, achetés chez des chaînes suédois et internationaux. La première analyse c’est concentré sur une centaine. Beaucoup de ces produits chimiques ne sont pas dans les déclarations des fabricants et sont soit des résidus de la fabrication, soit ajoutés pendant le transport.
De s’exposer à ces produits
augmente le risque d'allergies sur la peau mais ils
peuvent aussi provoquer des soucis plus graves et des
risques environnementaux. Certains produits identifiés
sont soupçonnés ou prouvés d’être
cancérigènes et aussi toxiques pour
les organismes aquatiques.
Selon la quantité, la toxicité et l’aptitude
de pénétrer la peau, 4 groupes de produits étaient choisi pour une analyse plus
approfondie. Les concentrations les plus élevées de 2 entre eux, les quinolones
et les amines aromatiques, étaient trouvés dans vêtement de polyester.
Le coton contenait des concentrations
élevées de benzothiazole et cela même dans des vêtements en coton bio. 3 des 4
articles par l'étiquette marquée 100% coton bio, contenaient des concentrations
de 7 à 30 fois plus élevés que la médiane des autres vêtements de coton. Il est
donc clair que l'éco-étiquetage n’est pas une garantie que les vêtements ne soient
exempts de produits chimiques nocifs.
Les vêtements testés étaient aussi lavés, suivi par des
nouvelles mesures de concentrations de substances chimiques. Certains disparaissaient
et allaient vers les stations d’épuration qui ne parviennent pas toujours à les
éliminer. Il y a donc un risque qu’ils se retrouvent dans des milieux
aquatiques, où ils peuvent avoir un impact sur les organismes aquatiques. D’autres
produits ne disparaissaient presque pas. Ils restent donc une source
potentielle d'exposition à long terme.
La conclusion est évidant. Il est difficile à
savoir si les niveaux
de substances chimiques trouvés sont nocifs et leurs effets à long terme. L’auteur
de la thèse constate qu’elle seulement a gratté la surface et que plus de recherche est nécessaire car des vêtements
sont portés tous les jours et tout au long de la vie.
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