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mercredi 28 octobre 2015

Du coton biologique n’est pas toujours non toxique



Que beaucoup de produits chimiques est utilisés dans la production de vêtements est bien connue. Combien qui reste dans les vêtements vendu est moins claire. Une thèse écrit par Giovanna Luongo, jette lumière sur le sujet.

Des milliers de produits chimiques ont été trouvé dans une analyse de 60 vêtements, achetés chez des chaînes suédois et internationaux. La première analyse c’est concentré sur une centaine. Beaucoup de ces produits chimiques ne sont pas dans les déclarations des fabricants et sont soit des résidus de la fabrication, soit ajoutés pendant le transport.

De s’exposer à ces produits augmente le risque d'allergies sur la peau mais ils peuvent aussi provoquer des soucis plus graves et des risques environnementaux. Certains produits identifiés sont soupçonnés ou prouvés d’être cancérigènes et aussi toxiques pour les organismes aquatiques.

Selon la quantité, la toxicité et l’aptitude de pénétrer la peau, 4 groupes de produits étaient choisi pour une analyse plus approfondie. Les concentrations les plus élevées de 2 entre eux, les quinolones et les amines aromatiques, étaient trouvés dans vêtement de polyester.

Le coton contenait des concentrations élevées de benzothiazole et cela même dans des vêtements en coton bio. 3 des 4 articles par l'étiquette marquée 100% coton bio, contenaient des concentrations de 7 à 30 fois plus élevés que la médiane des autres vêtements de coton. Il est donc clair que l'éco-étiquetage n’est pas une garantie que les vêtements ne soient exempts de produits chimiques nocifs.

Les vêtements testés étaient aussi lavés, suivi par des nouvelles mesures de concentrations de substances chimiques. Certains disparaissaient et allaient vers les stations d’épuration qui ne parviennent pas toujours à les éliminer. Il y a donc un risque qu’ils se retrouvent dans des milieux aquatiques, où ils peuvent avoir un impact sur les organismes aquatiques. D’autres produits ne disparaissaient presque pas. Ils restent donc une source potentielle d'exposition à long terme.

La conclusion est évidant. Il est difficile à savoir si les niveaux de substances chimiques trouvés sont nocifs et leurs effets à long terme. L’auteur de la thèse constate qu’elle seulement a gratté la surface et que plus de recherche est nécessaire car des vêtements sont portés tous les jours et tout au long de la vie.

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