Comment corrompre sans corrompre
La recherche dans l’industrie pharmaceutique est douteuse. La cause est simple. Les médicaments qui guérit ne sont pas rentable car ils sont moins utilisés que ces qui soulage les symptômes.
Les vrais pactoles sont les
médicaments que les patients doivent prendre pour le reste de leurs vies. Des nouveaux
antibiotiques, désespérément nécessaires ne sont plus
développés. Cela en fort contraste avec le développement des nouvelles maladies
qu’il absolument faut traiter. Mélancolie ?
Ils ne sont pas les seuls facteurs douteurs
dans cette industrie. Quand il s’agit de corruption ils sont justes sur
la ligne légale.
«Excursions passionnantes, visites
des caves à vins et la ville
avec ces éléments culturels.»
Il n’est pas une citation d'une brochure de voyage mais en fait tirée d'une invitation à une conférence par la
pharmaceutique Sam Nordique, envoyé
à des médecins suédois. Il s’agit d’un voyage de groupe
au Cap en Afrique de sud. Cependant, l’invitation ne contient
aucune information sur les sujets de la conférence. Un employeur
d’un médecin l’a accepté. La note, payée par l’argent publique, était d’environ
2 200 €.
Un autre exemple :
«Nous invitons à un programme culturelle
somptueux. Malaga est
l'endroit idéal pour mélanger
la science avec la culture,
les sports et le divertissement.»
Plusieurs cas d’offres de voyages payé par l'industrie
pharmaceutique ont été révélés en 2004. L'année suivante, les pouvoir publique
suédois et l'industrie pharmaceutique se sont mis d’accord sur des nouvelles
règles qui entre autre stipulent que l’employeur des
médecins paye 50% du coût du voyage, généralement le vol et l'hébergement. Les compagnies pharmaceutiques paient le reste qui aussi inclut le coût
de la conférence où des
dîners et des soirées de divertissements souvent font parties.
L’industrie pharmaceutique est sale et
finalement c’est nous qui payons. Il vaut mieux mettre une main publique forte
dans cette activité.
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Autrefois je voyageais moi-même beaucoup aux conférences
internationales, le tout payé par mon employeur. Pourtant, dans ces cas il
était toujours les présentations qui intéressaient mais supérieures. Surtout,
il fallait s’informer, (espionner), sur la technologie des concurrentes. Des
visites dans une fabrique ou une institution de recherche faisaient suivant
aussi partie, comme une soirée plus relaxantes.
À Paris nous étions une fois invités au Lido, «un cabaret
connu pour son joie de vivre». Des femmes demi-nu, est-ce vraiment
intéressantes, peut-être ? Des plumes en faisaient partie mais ce qui m’a
mauvaisement estomaqué était le nom du spectacle, danse aztèque. Il n’avait naturellement
rein à faire avec les aztèques et de propager des préjugés ou falsifier l’histoire n’est
pas de mon goût.
oui, le monde fonctionne d'une manière assez ecoeurante.
RépondreSupprimertous les moyens sont bons,à tous les niveaux de la société ,pour "faire du pognon".