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samedi 3 novembre 2012

De penser

La société Apple a dans une décennie a fait le voyage de la proximité de la mort à une des plus précieuses sociétés du monde. Pourtant, il est remarquable que le chemin du voyage inclut ni recherche de pointe ni innovations importantes. 

Ce qu’Apple a fait est de mieux réussir à capturer les tendances modernes que n'importe quel autre concurrent. Leurs produits uniques sont le résultat d’idées emprunté ou acheté, combinés dans une nouvelle manière. Chez Apple ils savent penser conceptuellement.

Le savoir faire et de la recherche n’est apparemment pas assez pour bien réussir, il faut aussi savoir penser. Ce professionnalisme est bien chez des génies historiques comme Leonardo da Vinci ou Einstein, qui le maîtrisaient à la perfection. Ils mélangeaient sans complexe l'analyse avec de la création et conception. Leurs pensés n’étaient pas seulement limités à des abstractions. Ils utilisaient le corps aussi bien que le cerveau dans leurs réflexions. Les histoires d’Einstein dans l’accesseur et l’œuf de Colomb sont connues.

Il me semble que nous avons besoin de changer paradigme économique actuelle, basé sur le savoir faire. L’économie des pensés est différent dans le sens que ce sont les pensées qui sont l’instrument fondamental et ne pas le savoir faire. Cela ne signifie pas que le savoir faire n’est pas important, il le sera peut-être même plus qu’aujourd’hui mais qu’il n’est plus au première plan. Les pensés et ne pas les connaissances qui seront le moteur dans une telle économie.

  
Ce croquis a était fait par Picasso. Son musé en Barcelone est plain d’œuvres similaires. Il avait le savoir faire mais il a pris un pas de plus et nous montrait que nos cerveaux hébergent plus que l’habituelle et le connu. Il savait penser.

 
La mondialisation et le développement de la technologie a fait que le monopole de enseignent qu’avait une fois les Universités n’y est plus. Le savoir faire gratuit est maintenant rapidement en train de se développer sur internet. L’Udacity, le Khan Academy et TED sont quelques exemples.

Cette banalisation de le savoir faire nos donne peu de chances dans la concurrence mondiale si nous ne l’apprenons pas de l’utiliser dans des nouvelles manières.  

Dans une étude parmi suédois gestionnaires des ressources humaines ils évoquent la nécessité de former des individus avec l’aptitude à « gérer des contextes et problèmes complexes ». Pourtant, d’autres études montrent que ceci n’est pas enseigné dans nous établissements.

La vie professionnelle exige aussi la capacité à penser ensemble. Les jours d’Edison sont passés. Les réunions et les conférences d’aujourd'hui ont suivant une productivité dévastatrice. Le manque de structure et méthodologie conduit à des piégés importantes. D’ailleurs pourquoi faire un effort dans un groupe quand les salaires sont individualisés.

Tout cela nécessite que les collèges, les lycées et les universités prennent sont responsabilité et repense ses manières d’enseigner. Celui qui a 10 ans aujourd’hui ne va pas vivre dans une société qui ressemble à l’actuelle. Il faut lui bien préparer pour ce défie.

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