Dans les déches
Un nouveau type d’activisme, qui a toutes mes sympathies, est apparues en Scandinavie. Ils s’appellent dumpsters, (dump = jeter), plongeurs d’ordure ou freeganes, (free=gratuit). Leur idée est simple, se nourrir sur les continus des d’ordures.
Dans les conteneurs et poubelles derrière les épiceries, ils trouvent un peu de tout dont ils ont besoin : fruits, légumes, viande, poisson, pain, pâtes, œufs et produits laitiers. Des aliments qui sont parfaitement mangeables mais qui, le plus suivant, ont passé les dates d'expirations.
Un tiers de la nourriture produite dans le monde est gaspillé. Dans le monde pauvre la raison est principalement l'insuffisance des chaînes d'approvisionnement et des installations de stockage. Chez nous les pertes sont plutôt sur le niveau de consommation. D’énormes quantités de nourriture sont jetées par restaurants, cantines scolaires et épiceries mais surtout par les consommateurs.
La production alimentaire génère une grande partie des émissions de CO2 dans le monde. Les élevages de la viande a une position particulière particulièrement accentué mais même les aliments cultivés pèsent lourdement sur l'environnement entre autre à cause de les pesticides et l’eutrophisation. Des longs trajets et stockages à forte intensité énergétique sont des charges supplémentaires. L'approvisionnement en eau est une des problèmes clés à résoudre pour notre avenir.
La fermentation anaérobie des déchets alimentaires en biogaz est mieux que rien, mais par rapport aux ressources utilisées dans la production la quantité d'énergie regagnée est très faible.
La conscience de la situation se repende lentement. Les municipalités organisent des formations pour les personnels dans leurs cantines. Les épiceries ont des incitations financières de minimiser le gaspillage. Les produits qui s’approchent la dates d'expiration sont vendues moins cher ou utilisé dans les plats cuisiné vendus dans leurs magasins. De nombreux magasins et restaurants font partie d'un réseau qui permet au un ONG de récupérer les restes qui ensuit sont donnés aux les sans-abri et d'autres en besoin.
Pourtant, des dumpsters peuvent témoigner d’épiceries que mettent des clôtures autour leurs conteneurs. Dans au moins un cas il y a même eu un commerçant qui a versé de l'eau Javel dans ses ordures. Que les entreprises ne veulent pas perdre leur clientèle est compréhensible mais d’empoisonner les restes de nourritures est fortement cynique. Non plus peut-il avec cette mesure de nouveau attirer les plongeurs d’ordure aux étales de son épicerie.
Dans les conteneurs et poubelles derrière les épiceries, ils trouvent un peu de tout dont ils ont besoin : fruits, légumes, viande, poisson, pain, pâtes, œufs et produits laitiers. Des aliments qui sont parfaitement mangeables mais qui, le plus suivant, ont passé les dates d'expirations.
Un tiers de la nourriture produite dans le monde est gaspillé. Dans le monde pauvre la raison est principalement l'insuffisance des chaînes d'approvisionnement et des installations de stockage. Chez nous les pertes sont plutôt sur le niveau de consommation. D’énormes quantités de nourriture sont jetées par restaurants, cantines scolaires et épiceries mais surtout par les consommateurs.
La production alimentaire génère une grande partie des émissions de CO2 dans le monde. Les élevages de la viande a une position particulière particulièrement accentué mais même les aliments cultivés pèsent lourdement sur l'environnement entre autre à cause de les pesticides et l’eutrophisation. Des longs trajets et stockages à forte intensité énergétique sont des charges supplémentaires. L'approvisionnement en eau est une des problèmes clés à résoudre pour notre avenir.
La fermentation anaérobie des déchets alimentaires en biogaz est mieux que rien, mais par rapport aux ressources utilisées dans la production la quantité d'énergie regagnée est très faible.
La conscience de la situation se repende lentement. Les municipalités organisent des formations pour les personnels dans leurs cantines. Les épiceries ont des incitations financières de minimiser le gaspillage. Les produits qui s’approchent la dates d'expiration sont vendues moins cher ou utilisé dans les plats cuisiné vendus dans leurs magasins. De nombreux magasins et restaurants font partie d'un réseau qui permet au un ONG de récupérer les restes qui ensuit sont donnés aux les sans-abri et d'autres en besoin.
Pourtant, des dumpsters peuvent témoigner d’épiceries que mettent des clôtures autour leurs conteneurs. Dans au moins un cas il y a même eu un commerçant qui a versé de l'eau Javel dans ses ordures. Que les entreprises ne veulent pas perdre leur clientèle est compréhensible mais d’empoisonner les restes de nourritures est fortement cynique. Non plus peut-il avec cette mesure de nouveau attirer les plongeurs d’ordure aux étales de son épicerie.
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