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mardi 7 août 2012


Sport idéalisé


Le JO à Londres remplisse nous quotidiennes et les vainqueurs avec corps musculeuses nous sourient sur les photos. L’impression de bien être est forte. Malheureusement s’est de la tromperie. Les sportifs ne sont ni plus heureux ni plus saint que nous les autres, peut-être même le contraire.

Le pire est les sports violents. Selon un nouveau rapport de la British Medical Association les boxeurs sont plus précocement et plus largement touchés par la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson et la démence sénile. La variante de rugby américain, le football américain, n’est pas si innocent non plus. Les responsables sont maintenant poursuivis par 3 000 ex-joueurs en raison de la fausse information sur les risques qui leur ont été transmises depuis des années.

D’autres sportifs souffrent presque tous les jours de muscles douloureux ou des blessures. Mais, la souffrance n’est pas un sujet qui intéresse les médias. Des images de sacs plastiques rempli de glace appuyés se sur les muscles ou des injections anti-doleurs ne fait pas la une.

On pourrait penser que les corps d’athlètes montrent une raisonnable contrepartie à l’idéale anorexique de la mode, des corps de différentes origines qui se rencontrent dans une compétition pacifique et où ceux qui gagnent sont récompensés.

L'idée est facile à avaler. Où est la complication ? Depuis l’antique nous admirons des corps bien musclés et instinctivement nous associons cette perfection esthétique avec le plaisir de bien être. Bien sur, il n’est qu’une illusion.

Que font ses sportifs après la fin de leurs carrières ? Certains vivent bien mais la grande majorité n’ont pas l’éducation ni le capital pour le faire. Qu’ils dans se vide sont nombreux à tomber dans des abus de différent caractère est bien connu.

Les plus tragiques sont néanmoins ceux qui sont laissés sur la route car il n’y a qu’une tout petite minorité qui arrive sur les grandes scènes. Chez OM ils sont conscients du problème et le club gère un encadrement scolaire de ses jeunes joueurs. Cette année 2 candidates de 14  ont réussi de passer le baccalauréat. Les entrainements et les voyages ont la priorité et dans cette fragmentation du temps il n’est pas facile d’étudier. Il est estimé que seulement 1 sur 15 des ces talents finalement arrivent à joindre un club de la ligue 1. Les autres 14 sont laissés sur la route sans vraiment savoir autre chose que de botter un ballon.        

Les tragédies dans le sillage du sport, qui veut en savoir ?           

Ma sœur était une fois membre de l’équipe suédois de basketball. Cependant, à l’époque ce sport n’avait pas l’intensité d'aujourd’hui, entrainement un soir par semaine. À l’exception de quelques doigts déformés et de la moisissure sur les orteils, attrapé en Russie, elle en est sorti indemne. Elle avait de la chance

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