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jeudi 23 août 2012


La qualité


Les séjours linguistiques sous surveillance et la rubrique de cet article dans le Figaro. Il révèle comment les écoles d’été sont contrôlées par une structure française et si toutes les cases dans leur formulaire d’évaluation sont cochées, un certificat de qualité est émis.

Les points sont nombreux et couvrent l’environnent en générale et la pédagogie. Dans le dernière cas ces sont les diplômes des enseignantes et la taille des groupes. Pourtant, le facteur le plus important de tout, si les élèves vraiment apparent, n’est pas vérifié.

Il faut se méfier de se garantie de qualité. Certes, elle exclut les plus mauvais mais que tout se passe bien n’est loin de sur. Un petit exercice d’arithmétique est suffisant pour monter le problème fondamental. Si la leçon dur 45 minutes est les élèves sont 15, chaque un a moyennement 3 minutes. Mais, si le professeur parle 50% du temps il ne reste que 1,5 minutes, 3% du temps, pour chaque élève.   

Donné des bonnes conditions, absence d’éléments distrayants et cetera, une telle forme de pédagogie peut améliorer la compréhension d’une langue mais l’entrainement de s’exprimer est minime. Une salle de classe n’est simplement pas le bon lieu pour apprendre de parler.

Selon le pédagogue russe, marxiste et révolutionnaire Lev Vygotski, l’apprentissage fonctionne toujours dans un contexte social. Ces pensés ont maintenant au nouveau attirer l’intérêt des pédagogues, paradoxalement entre autres aussi par un américain, Jerome Bruner.

On oblige donc suivant que les élèves apprend beaucoup entre eu et dans un petit groupe, jusqu’aux peut-être 5 personnes, chacun a une chance de travailler son expression. Pour que se forme d’apprentissage fonctionne il faut naturellement que les élèves communiquent dans une langue étrangère.

C’est pourquoi je recommande des colonies de vacance internationale ou similaire. Il n’y a pas des leçons mais si les participants veinent d’un bon nombre de pays ils sont forcés de s’exprimer dans une langue étrangère.

Je doute donc qu’une salle de classe toujours soit le meilleur contexte social pour apprendre une langue, malgré le certificat de qualité.     

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Dans notre époque il y a une sur-croyance des certificats de qualités.

La procédure pour en avoir est même standardisé par ISO. De ne pas être éprouver selon ce protocole est un catastrophe pour une entreprise.

Chez Ericsson, où je travaillais jusqu’au l’an 2000, il avait régulièrement des contrôles par personnes extérieures. Ils n’étaient pas des ingénieures et ils ne comprenaient pas ce que nous faisons mais leurs pouvoirs effrayaient tout le monde. Il fallait donc à tout prix éviter de tomber dans des discussions fortes techniques.

Pour l’éviter nous arrangions des fausses pistes. Des petit choses qui méritaient un remarque mais qui dans aucune cas mettait le certificat en danger. Par exemple des panneaux avertissant des dangers divers peu visibles ou mal places.

Conclusion : Nous supérieures, les contrôleurs et les clientes étaient tous contentes.     

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