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jeudi 16 août 2012


La France ?


Est-ce que le nationalisme a un rôle positif dans le monde d’aujourd’hui ?

Il y a un nationalisme primitif, ancien et conservateur. Il n'est pas une philosophie, mais plutôt une attitude d'appréciation et d'affection envers sa propre nation. Souvent il se dresse à l'amour et la volonté de défendre ce bien-aimé contre diverses menaces, réelles ou simplement imaginaires. Les gens sont même prêts à sacrifier leur propre vie et celles des autres pour donner leur nation sa position qui lui historiquement appartient dans des guerres de «nous» contre les «autres». Par conséquent, on ne peut pas décrire le nationalisme conservateur comme une philosophie. Il est beaucoup plus sentimental que réfléchi.

Le comble du nationalisme conservateur est quand les gens commencent à voir la nation comme un organisme qui a une personnalité, volontés et sentiments. «La France se félicite» ! Ce non-sens et d’autres ces sont développé pendant le période romantique dans les 1900eme, qui plus tard ont pris des formes diaboliques telles que le fascisme et le nazisme. Le nationalisme conservateur est, en principe, incompatible avec la démocratie et des droits de l'homme.

Sert, quand il est né il représentait un progrès car avant le roi était la nation et il est probablement de lui que la nation a hérité «la faculté» d’avoir sentiments.

Une approche très différente est le nationalisme libéral. L’idée fondamentale est que tous peuples ont droit à une nation. Dans se point de vu il n y a pas de les «nous» contre les «autres».

Au moins qu’il y a une définition d’une nation les deux types de nationalisme ne sont pas clairs.

Selon le nationalisme conservateur il est simple. Pour ces partisans, ou soit-il les praticiens, il suffit de trouver, ou imaginer, les traits distinctive pour leur propre nation.

Le nationaliste libérale a besoin de clarifier les caractéristiques d'une nation en général. Ce point de vu nécessite une référence à une entité linguistique, historique et culturelle dans un territoire commun. Cela a toujours était difficile en Europe où seulement l'Islande et le Portugal n’ont pas des minorités linguistiques. L’Espagne, la Grand Bretagne, la Belgique sont des exemples de pays qui essayent de régler le problème avec régions plus ou moins autonomes. En plus, il y a un peuple qui n’a pas de nation et vive ici et là, les tziganes.

Le nationalisme, tant difficile à pratiquer, a-t-il actuellement une place légitime ?

En Europe il y a ici et là des mouvements qui essayent de relancer le type conservateur. Pourtant, il est difficile de trouver des exemples où cette forme de nationalisme a été bonne mais il existe de nombreux exemples montrant qu'il a eu des conséquences désastreuses.

La situation pour le nationalisme libéral et différant. Dans les années 1800 il a joué un rôle progressiste en Europe. Il est l’arme démocratique qui a réussi à renverser divers empires impériaux.

Le nationalisme peut-il nous aider à progresser ?

Je ne le pense pas mais les impliquassions de les laisser tomber sont assez sévères car la seule option est le cosmopolitisme. Pourtant, il est déjà sur place comme un courant souterrain, entre autre représenté par des gens comme moi.

Qui, même si la définition est plus que diffuse, la France sert encore à quelques choses mais elle se décompose lentement. Entre autre, l’UE la rende moins indépendant et donc moins distincte. Notre voyage vers le cosmopolitisme est en cours.        

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