En fortement investissant dans l'énergie de vent, solaire,
hydroélectrique et géothermique il est possible à générer 80% des besoins d’énergie
d’ici à 2030 et 100% à 2050 dans 139 pays. Ces sont les conclusions dans un
rapport écrit par 27 chercheurs et publié dans la revue Joule.
Les deux questions que les chercheurs se sont posé sont : est-il possible, avec principalement de la technologie existant et un peu de développement, remplacer tous les besoins énergétiques, y compris carburants pour tous types de transport ? Et, est-il économiquement réalisable ?
Les deux questions que les chercheurs se sont posé sont : est-il possible, avec principalement de la technologie existant et un peu de développement, remplacer tous les besoins énergétiques, y compris carburants pour tous types de transport ? Et, est-il économiquement réalisable ?
La réponse des chercheures à ces deux questions est oui
et ils ont aussi établit une feuille de route pour la conversion. L’analyse, inclut
les besoins pour l'industrie, les transports, le chauffage, le refroidissement,
l'agriculture, la foresterie et l'industrie de la pêche. Les 139 pays ont été
sélectionnés parce qu’ils sont suffisamment couvert de données collectées par
l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Ensemble ils représentent 99% des
émissions mondiales de CO2.
En utilisant les ressources naturelles les 139 pays
peuvent en grande partie devenir autonomes d’'énergie. Les chercheurs concluent
aussi qu'un avantage majeur dans la transition est d'avoir de vastes zones
terrestres, tandis que les petits et densément peuplés pays entourés de mers auront
plus de difficultés - comme le Singapour.
La conversion aura de nombreuses conséquences positives. Des niveaux plus bas de pollutions d'air signifieront entre 4 et 7 millions moins personnes décès par ans, qu’il sera possible de épargner des sommes énorme pour des soins et que plus de 24 millions de nouveaux emplois seront créé.
En plus des avantages environnementaux, la demande globale d'énergie sera réduite par 13%, parce que le pétrole, le gaz et l'uranium n'ont plus besoin d'être extraits, raffinés et transportés.
La conversion aura de nombreuses conséquences positives. Des niveaux plus bas de pollutions d'air signifieront entre 4 et 7 millions moins personnes décès par ans, qu’il sera possible de épargner des sommes énorme pour des soins et que plus de 24 millions de nouveaux emplois seront créé.
En plus des avantages environnementaux, la demande globale d'énergie sera réduite par 13%, parce que le pétrole, le gaz et l'uranium n'ont plus besoin d'être extraits, raffinés et transportés.
Ni le nucléaire, ni la bioénergie sont inclus dans le
rapport.
Les centrales nucléaires ont besoin de beaucoup de temps
pour la construction et elles exigent des investissements majeurs. De plus,
elles sont associées avec tant de risques.
La bioénergie a été exclue en raison de la pollution
atmosphérique, entraînant beaucoup plus d'émissions de CO2 que les sources d’énergies
proprement vertes.
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Livres écrites par des amies
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La Chute de
Michelangelo
de Dinh M.K.
La Section Italienne de la Colonne Ascaso
de Alba Balestri
Tu seras un peintre, mon fils
de Jean Janyn
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