Un signal qui
rappelle un locuteur d’une langue secondaire de sa
culture d’origine peut le perturber,
même s'il la parle couramment. C’est le résultat d’une
étude américaine publiée dans la revue Proceedings of
the National Academy of Sciences.
L'équipe de recherche a étudié comment les immigrants chinois parlent anglais dans des situations divers. Les participaient sont appelés biculturelles. Ils se sont adaptés aux traditions américaines à l'école ou au travail où ils parlent anglais couramment. Mais, à la maison ils s’expriment en chinois et pratique beaucoup de leurs traditions. Ils changent par conséquence contexte culturelle tous les jours.
L'équipe de recherche a étudié comment les immigrants chinois parlent anglais dans des situations divers. Les participaient sont appelés biculturelles. Ils se sont adaptés aux traditions américaines à l'école ou au travail où ils parlent anglais couramment. Mais, à la maison ils s’expriment en chinois et pratique beaucoup de leurs traditions. Ils changent par conséquence contexte culturelle tous les jours.
Bien que ces d’identités apparaissent
dans des situations différentes,
ils ce peu que la situation parfois ne correspond pas à
la langue parlé qui perturbe leurs expressions anglais. Un exemple est une
personne d’origine chinois qui, circonstances données, doit parler anglais devant
d’autres de la même origine. Dans cette situation la
probabilité qu’elle fait des fautes et plus élevé que si les ausculteurs
avaient été américains. Le même effet apparait aussi s’il y a des
images en arrière-plan. Si par exemple une photo montre la Statue
de la Liberté,
l’anglais est impeccable mais si de la Grande Muraille ou des statues de Bouddha l’anglais se
perturbe.
Dans un autre test, un groupe devraient regarder et décrire des objets avec des liens culturels de la Chine. L’autre groupe était seulement demandé de les décrire. Ceux qui regardaient les photos choisissaient plus de donner des descriptions traduit mot par mot de chinois que les autres.
Dans un autre test, un groupe devraient regarder et décrire des objets avec des liens culturels de la Chine. L’autre groupe était seulement demandé de les décrire. Ceux qui regardaient les photos choisissaient plus de donner des descriptions traduit mot par mot de chinois que les autres.
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Je ne suis pas biculturelle mais j’utilise
quotidiennement 3 langues. Normalement il n’y a pas des problèmes, la situation
suscite le bon choix. Des choses qui touchent à mon métier sont par exemple
mieux traités en anglais. Mais parfois quand je pense profondément dans une
langue et quelqu’un m’adresse dans une autre, le commutateur fonctionne moins
bien. Dans ces cas il m’arrive d’avoir le première mot de mon réponse en la
langue de mes pensés dans la bouche.
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