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mercredi 7 février 2018

Stéréotypes, ne pas dans les échecs !



Des nombreuses expériences ont montré que des groupes minoritaires ou des groupes sous-représentés peuvent souffrir de préjuges sur leurs capacités et qu’ils par conséquent se comportent moins bien dans différents contextes. Psychologiquement il s’agit de gênés ou nervosités qui peuvent nuire la performance.

Pour approfondir nos conséquences du phénomène des chercheurs de l'Université de Sheffield ont maintenant analysé plus de 5 millions de parties d'échecs avec plus de 160 000 participants à des compétitions internationales entre 2008-2015. Environ 10% des joueurs étaient des femmes, ce qui a permis à tester la hypothèse de stéréotypes comme source de sous-réalisations.

Sur le niveau élite il existe un système de classement des joueurs avec une bonne disposition à prédire. Car, les échecs est un jeu avec un facteur aléatoire minimal.

Les hommes ont généralement des classements légèrement supérieurs aux femmes. Cependant, dans l’analysé il s’avérait que les femmes ont fait mieux que leurs rangs quand elles jouaient contre les hommes mais ne pas quand elles jouaient contre d’autre femmes.

Au première vu c’est un résultat qui montre qu’il, au moins dans certaines activités, est possible de surmonter des stéréotypes.

Ou, peut-être que les hommes sous-estimaient leurs adversaires femmes ?

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