La lutte contre les oiseaux

Juste après son décalage un avion de SAS, en provenance de Kalmar, Suède et en route pour les îles Canaries, a collisionné avec un oiseau et a dû atterrir en urgence à Kastrup, à Copenhague. Suivant une inspection il a pu continuer à son destination.

Ces types d’incidentes son devenu plus fréquent en Suède. 175 incidentes ont été signalées en 2010 et en 2016 elles sont devenues 346.

Les plus part sont peu dramatiques et les réacteurs d'aujourd'hui sont dimensionnés pour supporter une collision avec un oiseau de la taille d’une mouette. Les collisions arrivent surtout près du sol où le pilote ne peut rien faire pour les éviter. C’est pourquoi l'Agence des Transports ordonne que chaque aéroport doit avoir un programme avec le but de tant que possible réduire le problème.

Selon les types d'oiseaux dans le voisinage les aéroports utilisent des différentes méthodes passives. Il peut s'agir de garder l’herbe sur un taille qui minimalisent l’attractivité, d'enlever les flaques d'eau, d'installer des pics à pigeons ou de s'assurer qu'il n'y a pas de dépôt d'ordures dans le voisinage.

Cependant, il faut les compléter avec des mesures actives telles que coups d’armes à feu ou canons à gaz. À Stockholm ils ont essayé de laisser une sorte de laser avec une couleur qui fait peur aux oiseaux balayer sur la piste. Mais, il n'est efficace qu’à crépuscules et jours fortes nuageux. Des drones qui ressemblent aux  faucons sont en voie d’expérimentation.

Quand ces mesures ne sont pas suffisantes la dernière possibilité est de tirer sur les oiseaux. 25 000 oies sont chaque année tuées pour des raisons de sécurité aérienne aux États-Unis et aussi d’autres espèces. Entre 2009 et 2013 tant que 26 000 oiseaux étaient abattus uniquement à l'aéroport de JFK, dont 1 600 d’espèces protégées. Malgré tous ces efforts il y a eu l’incident Hudson River.

Le problème, et des mesures peu efficaces, a toujours existé. Il est étonnante qu’on même avec l’aide de la technologie moderne n’a pas trouver une solution.