Les 2 systèmes de pensés
Alfred Nobel n’était pas collectionneur de scarabées et c’est peut-être pourquoi il n’a pas institué un prix Nobel en biologie. Dommage, car c’est une science qui dans tout son diversité fait de progrès considérable. Pour récompenser une recherche extraordinaire le comité pour le prix en médicine a néanmoins une fois tendu leurs statues et donné le prix à un behavioriste, Konrad Lorenz.
Un autre behavioriste, Daniel Kahneman, a, eu le prix d'économie de
2002. Sa recherche sur les mécanismes de décisions et
évaluation des risques repose en grande
partie sur l’évolution biologique. Contrairement à
ce que l’économiste Milton Friedman
et ses adeptes du marché libre longtemps temps ont prêché,
ils sont loin de rationnelles.
Dans son dernière livre,
Penser,
fast and slow, Kahneman décrit que l'intellect humain
est parfaitement adapté pour une
vie comme singes qui pose des problèmes considérable pour les choix dans la vie
moderne. Nous commettons
des erreurs tout le temps et nous somme facile à
tromper. Surtout, les évaluations intuitives, celles qui nous faisons rapidement, sont très suivent erratiques.
Kahneman illustre
les mécanismes de pensées avec deux images théoriques. La première, système 1, représente les approches
automatisés et rapides, tandis que l'autre, système
2, représente les réflexions et les calcules.
Système 1 est impossible à désactivé. Toutes les impressions sont sans cesse élaborées et de ce chaos sortent sans efforts des
conclusions que nous pensons ont une signification même s'ils n'ont rien à faire avec les faites. Cette
disposition à ignorer ambiguïtés et
faire des conclusions hâtives a simplement
été un avantage dans l'évolution. Le doute n’a pas de place dans ce système. Il n’y a simplement
pas le temps pour élaborer de la statistique ou faire des calcules.
En revanche, système 2 comprend statistique
et il est plus enclins à douter
qu’à croire. Cependant, cette façon de fonctionner nécessite du temps et des efforts
conscientes qui fait qu’il suivant reste éteinte.
Les gens préfèrent des choix instinctifs. Par
fois ils nous guident aux décisions correctes mais les risques sont importants. Surtout parce que toutes groupes de professionnelles maintenant sont en train de exploiter
notre manque de réflexion, annonceurs, spins doctors politiques,
journalistes de scandales, conseillers financiers et d’autres.
Kahneman a choisi d’étudier le marché
financier en partie parce que des
nombreux analystes sont guidés par primitives réflexes spinaux et aussi parce
que les résultantes de leurs actions sont faciles à contrôler statistiquement.
Pour ceux qui ne le savaient pas auparavant, l’auteur rend clair que ce marché essentiellement est guidé par des décisions aléatoires.
Que les spéculateurs craignent des pertes plus qu’ils se réjouissent des bénéfices est un exemple comment le système 1 nous guide sur des fausse pistes. C’est l’évolution qui a fait que nous avons la tendance de surévaluer les risques. Car, dotés de ce fonctionnement les singes pouvaient éviter d’être mangés par lions. Cependant, dans le monde moderne il fonctionne mal.
Que les spéculateurs craignent des pertes plus qu’ils se réjouissent des bénéfices est un exemple comment le système 1 nous guide sur des fausse pistes. C’est l’évolution qui a fait que nous avons la tendance de surévaluer les risques. Car, dotés de ce fonctionnement les singes pouvaient éviter d’être mangés par lions. Cependant, dans le monde moderne il fonctionne mal.
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