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samedi 28 juillet 2012


Verdict dur sur la musique populaire


Ce que la génération agrandie longtemps a soupçonné – la musique populaire se développe vers des sons plus forts et des tonalités plus ternes – a maintenant était confirmé par des chercheurs espagnols.

C’est l’énorme base de données Million Song Dataset, qui a rendu cette recherche possible. Plus d’un million chansons populaires ont été sélectionné dans le but de les décomposer en données brutes pour plus objectivement pouvoir étudier le développement entre 1955 et 2010.

Il maintenant est scientifiquement prouvé que le volume a augmenté et que les chansons sont devenues de plus en plus fade en termes d'accords, mélodies et la nature des sons.

«Nous avons trouvé la preuve d'une uniformité progressive de la musique. Plus précisément nous avons découvert des indications que la diversité des transitions entre les combinaisons de notes - simplement expliqué les accords et les mélodies constamment ont a diminué au cours des 50 dernières années, a déclaré le chercheur principal, Joan Serra.»

La couleur des tons est la qualité qui fait qu’un ton est aperçu différemment, joué sur piano ou guitare par exemple, même si la note et le volume sont pareils. Dans les chansons populaires elles se sont évoluées vers l’uniformité. La musique populaire est donc depuis long temps sur la piste de devenir de plus en plus terne.

L'industrie musicale a longtemps été accusée de mener une «guerre» sonores et maintenant les scientifiques ont trouvé des preuves à cet effet. Le bas de donné montrent aussi que le volume des chansons populaires successivement s’est soulevé au moment de l'enregistrement, même si le volume du stéréo reste sur le même niveau.


Hamburgers de la musique ? La métaphore boite un peu mais il est un fait qu’un hamburger a le même goût en Indonésie qu’ici. Mes pensés vont dans une autre direction, même s’ils ne sont pas très claires, la mort entropique.

La nature a la tendance d’égaliser toutes différences de concentrations. Les montagnes érodent lentement et remplissent les vallées de cajous. La tomate que j’ai mangée sort dans un système de tuyauterie, les restes sont capturés dans une station d’épuration et dans le meilleur de cas utilisés comme engrais sur un champ.

L’essence d’entropie est qu’il faut énergie pour créer ces différences de concentrations. Dans le processus d’égalisation cette énergie est par divers types de frictions transformé en énergie thermique, chaleur, qui augment l’entropie. On n’a pas besoin d’être Einstein pour le comprendre.

La définition classique d’entropie est Q/T, (énergie thermique/température absolu).  Tout écoulement de chaleur est donc inévitablement associé avec une augmentation de l’entropie. La mort entropique est inévitable quand tout les soleils dans l’univers s’éteindront et de la chaleur écoulera de les astres qui encore sont chaud vers les astres froid pour finalement éradiquer toutes différences de concentration de température.

Dans la musique populaire il y a apparemment une tendance similaire mais je n’arrive pas à bien le connecte avec entropie.         

Peut-être quelque chose avec énergie et créativité. Ce dernière passe inévitablement par le cerveau qui est un organe qui pour son fonction dépende d’approvisionnement d'énergie. Si cette type énergie est un ressource limité et la production de musique constamment augmente, il aura moins d’énergie pour chaque création et moins de différences de concentrations, et donc plus de conformités ?      

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