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samedi 7 juillet 2012


L’apprentissage en ligne arrive  

L’américain Peter Norvig est un expert d’intelligence artificielle, chercheur en informatique, professeur à Stanford et directeur de recherche chez Google. Au cours d'une leçon pour 200 étudiants il s'est rendu compte que le contenu de ce qu’il enseignait a radicalement changé depuis le moyenne âge mais que la façon de le enseignée n’a presque pas changé de tout.

Il a donc décidé de changer son approche pédagogique. Lors de son présentation chez TED, il parle de ce qu'il a appris sur la nouvelle piste à l'automne 2011. Il a commencé par une annonce d’un cours en linge complètement gratuit. Deux semaines passés il avait attirait 50 000 étudiants et plus tard tant que 160 000 étudiants de 209 pays différents.

Des cours en ligne est une modernité mais quelques expériences ont quand même été fait. Entre autre dans le Khan Academy qui a montré qu’il vaut mieux concevoir les cours en plusieurs petites vidéos, typiquement ne jamais plus longs que de 10 minutes, au lieu des longs monologues d’une heure. Norvig a décidé de faire encore plus court. Ses vidéos durent par préférence autour de 2 minutes et quelques unes jusqu’à 6 minutes.

Chaque vidéo est survie par une question de contrôle de telle sorte que les étudiants activement doivent appliquer leurs appris et réfléchir à ce qui vient d'être enseigné.

Voila un enseignement fondamentalement humain qui respect les 10 minutes qu’un cerveau normal est capable de rester concentré et l’escalier d’apprentissage. Ils sont tant difficiles à réaliser dans un enseignement traditionnel. On apprend sur les verticales, stabilise sur les horizontales et laisse les élèves se motivés par leurs progrès.    

Dans d’autres cours enseignés en ligne, les étudiants ont accès aux vidéos à tout moment. Norvig a décidé de faire autrement. Ses étudiantes devraient «être présent en classe» c’est-à-dire se connecter toutes les semaines qui toujours terminaient avec un devoir. La semaine prochaine il y avait une nouvelle série de vidéos et les anciennes n’étaient plus accessibles.

«Si on peut tout faire à tout moment il est également possible de le faire demain, où ne jamais» est l’argument de Norvig.

Cet arrangement a aussi fait que les étudiantes apprenaient la même chose au même temps qui beaucoup a facilité des discussions dans des forums, pour la plupart crée par les étudiants eux-mêmes. Un participant a fait le commentaire que «les étudiants sont parmi les meilleurs enseignants parce qu'ils se souviennent comment on se sent lorsqu’on ne comprend pas».  

Après 10 semaines 20 000 étudiants ont été approuvés. Que seulement 12% des élèves ont eu un note n’est naturellement pas un bon bilan mais donné les circonstances compréhensible. Par contre, si on compare ce chiffre avec les 200 élèves que Norvig enseignait avant il a augmenté sont productivité 100 fois ou par 10 000%.

Se type de enseignement a débuté dans des études supérieures mais ils seront bientôt aussi intégrés dans les lycées et plus tard dans les collèges. Des centaines d’enseignantes qui simultanément expliquent la même chose devant une classe de 30 élèves n’est simplement pas rationnelle.    

Néanmoins, il n’est pas parce qu’on a des instruments qu’on peut faire de la musique. Accès aux ordinateurs et internet ne font rien sans une pédagogie bien adoptée. Il y a un énorme travaille à faire pour les structures d’éducation.  

L’école française a des problèmes et on les discute toujours en termes de la pédagogie traditionnelle. La technologie nous avons donné des nouvelles possibilités. Il faut savoir les utiliser.  

1 commentaire:

  1. un bel outil,qui demande à être bien utilisé.
    j'imagine un enseignement en ligne,accompagné d'un enseignement sur le terrain(nature,chantiers,usines ,ateliers...).on peut rêver!
    malheureusement, cette possibilité sera comme d'habitude utilisée pour faire des economies a cours terme en reduisantl'effectif enseignant

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