Une hypothèse pourquoi le requin géant, le mégalodon, est disparu est que une baisse du niveau de la mer
détruisait ses chances à survivre. Une autre hypothèse, récemment publié, fait
valoir que les radiations d'une supernova pourraient être à l'origine de la disparation.
La période Pléistocène, (du grec ancien pleistos, nombreux, et kainos, récent), s'étend de 2 588 000 à 11 600 ans avant notre époque. Cette période est caractérisée par un refroidissement important avec des grandes couches de glaces sur les pôles. Le changement de climat pendant cette période a été liée avec la disparation d’un grand nombre d'espèces. Un exemple spectaculaire est le mégalodon.
Ce géant ressemblait à le requin blanc mais avec une longueur jusqu’à 20 m, 4 fois plus que aujourd’hui. Certains chercheurs pensent que les plus gros spécimens pourraient peser jusqu’à 100 tonnes.
Au cours de cette période les grandes quantités d’eau fixée aux pôles ont entraîné une baisse significative du niveau de la mer. Une hypothèse est que les eaux moins profondes auraient empêché le requin à chasser des proies côtiers, tels que des baleines, phoques et otaries. Le niveau bas de la mer aurait peut-être aussi exclu le géant d’importants lieux de reproduction et des baies de nurserys.
Une autre explication possible est maintenant apparue. Des chercheurs de l'Université du Kansas font valoir que le nombre décroissant de requins géants coïncide avec un événement cosmique qui a eu lieu il y a 2,6 millions d'années. Juste après le début de la période Pléistocène la Terre semblait avoir été bombardé par des rayonnements d'une ou plusieurs supernovas. Les échantillons de forage des fonds marins historiques montrent une quantité accrue de particules radiantes à ce moment.
Lorsqu'une étoile a consommé son hydrogène et son hélium, elle implose et envoie une onde de choc à travers l'univers. Si l'étoile est à moins de 150 années-lumière de nous, la Terre sera recouverte d’un haut dose de rayonnements capable à pénètre dans l'atmosphère, fractionner des molécules et détacher les électrons de leurs atomes.
L'isotope de fer 60 est une trace d'étoiles explosant. Un autre est les muons qui se forment lorsque le rayonnement cosmique rencontre l’atmosphère. Ils pénètrent loin dans le sol et l’eau et, à fortes doses, ces particules peuvent provoquer des mutations et le cancer. Les chercheurs estiment qu’une explosion d’une supernova peut provoquer 20 fois plus de muons que normalement. Selon les savantes cela aurait eu un plus grand impact sur les grands animaux et aurait pu déclencher la chute du mégalodon. Pourtant, un autre facteur qui aussi aurait pu avoir un impact sur la vie est qu’au même moment, il y a 2,6 millions d'années, la Terre a connu un retournement du champ magnétique protégeant.
La période Pléistocène, (du grec ancien pleistos, nombreux, et kainos, récent), s'étend de 2 588 000 à 11 600 ans avant notre époque. Cette période est caractérisée par un refroidissement important avec des grandes couches de glaces sur les pôles. Le changement de climat pendant cette période a été liée avec la disparation d’un grand nombre d'espèces. Un exemple spectaculaire est le mégalodon.
Ce géant ressemblait à le requin blanc mais avec une longueur jusqu’à 20 m, 4 fois plus que aujourd’hui. Certains chercheurs pensent que les plus gros spécimens pourraient peser jusqu’à 100 tonnes.
Au cours de cette période les grandes quantités d’eau fixée aux pôles ont entraîné une baisse significative du niveau de la mer. Une hypothèse est que les eaux moins profondes auraient empêché le requin à chasser des proies côtiers, tels que des baleines, phoques et otaries. Le niveau bas de la mer aurait peut-être aussi exclu le géant d’importants lieux de reproduction et des baies de nurserys.
Une autre explication possible est maintenant apparue. Des chercheurs de l'Université du Kansas font valoir que le nombre décroissant de requins géants coïncide avec un événement cosmique qui a eu lieu il y a 2,6 millions d'années. Juste après le début de la période Pléistocène la Terre semblait avoir été bombardé par des rayonnements d'une ou plusieurs supernovas. Les échantillons de forage des fonds marins historiques montrent une quantité accrue de particules radiantes à ce moment.
Lorsqu'une étoile a consommé son hydrogène et son hélium, elle implose et envoie une onde de choc à travers l'univers. Si l'étoile est à moins de 150 années-lumière de nous, la Terre sera recouverte d’un haut dose de rayonnements capable à pénètre dans l'atmosphère, fractionner des molécules et détacher les électrons de leurs atomes.
L'isotope de fer 60 est une trace d'étoiles explosant. Un autre est les muons qui se forment lorsque le rayonnement cosmique rencontre l’atmosphère. Ils pénètrent loin dans le sol et l’eau et, à fortes doses, ces particules peuvent provoquer des mutations et le cancer. Les chercheurs estiment qu’une explosion d’une supernova peut provoquer 20 fois plus de muons que normalement. Selon les savantes cela aurait eu un plus grand impact sur les grands animaux et aurait pu déclencher la chute du mégalodon. Pourtant, un autre facteur qui aussi aurait pu avoir un impact sur la vie est qu’au même moment, il y a 2,6 millions d'années, la Terre a connu un retournement du champ magnétique protégeant.
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