Volkswagen et Stanford développent des piles à combustible moins cher

Des matériaux coûteux, tel que platina, ont beaucoup freiné le développement commercial de piles à combustible. Volkswagen et l’Université de Stanford font maintenant un effort joint pour mettre à point une technologie moins chère.

La platine est nécessaire pour catalyser la réaction entre hydrogène et oxygène. D’autres catalyseurs, par exemple basés sur alliances de nickel, ont été expérimenté mais ne rien dépasse l’efficacité de platine.

Pour un catalyseur c’est la surface exposée qui est important. C’est-à-dire que les atomes en profondeur n’ajoutent rien de tout. Pour minimiser la quantité de platine nécessaire il faut donc créer des couches super-minces.

La technologie en expérimentation consiste à placer des atomes de platine sur une surface de carbon ce qui rend possible de radicalement réduire la quantité de platine. Autres avantages sont que ce type de catalyseur devient 3 fois plus efficace et que le matériau résiste mieux à l’agressivité de l’environnement.

Sur le site Web de VW le professeur Prinz de l'Université de Stanford écrit : « Cette technologie ouvre d’énormes possibilités à réduction les coûts, car la quantité de métal précieux utilisée est minime. En plus, la durée de vie et la capacité à catalyseur augmentent ».

Si la cette technologie réussis il aura un meilleur avenir pour des véhicules propulsé par piles à combustible. Cependant, il n’est pas seulement le cout qui freine le développement. Il y a aussi d’autres désavantages. De produire hydrogène par électrolyse de l’eau ne se fait pas sans pertes. Elles sont sur le niveau 20%. L’expansion d’hydrogène dans les réservoirs, avec la pression 600 bars aux 2 bars qu’utilisent les piles, entraîne une autre perte de 20%. De plus, 20% disparaisse comme de la chaleur. Tout-à-tout cela implique que seulement environ 50% de l’énergie initialement alimenté dans la chaine est utile.