Le cerveau est mieux qu'on ne le pense à détecter et
éviter les maladies - et cela même avant qu'ils ne se déclenchent pleinement.
C’est que montre une étude dans
laquelle des chercheurs de l'Institut Karolinska, Stockholm, ont activé le
système immunitaire de 18 sujets en injectant des parties inoffensives de
bactéries qui entraînaient des symptômes transitoires tels que fatigues,
douleurs et fièvres. Des échantillons d'odeurs et des photos ont été prises de
les sujets, à la fois quand ils étaient « malades » et quand ils
étaient en bonne santé. Puis, 30 personnes ont regardé les photos et senti les
odeurs tout en enregistrant leur activité cérébrale. Ensuite, ils devaient
déclarer ceux qui ils pensaient être malade, ceux qu'ils pensaient être
attrayant et lesquelles qu'ils avaient envie de rencontrer.
Il y avait une différence significative entre le groupe
« malade » et ceux « en bon santé ». Les «
malades » étaient en grand partie boudé. Cette réaction était aussi
visible dans les cerveaux où les visages malades et les odeurs activaient des zones
assez étendus. Par conséquence il est clair que le cerveau est bon à combiner
des odeurs et impression visuelles pour détecter
des maladies, même s’ils sont faibles.
Le résultat confirme la théorie de l'évolution selon
laquelle il est mieux d'éviter la maladie au lieu de laisser le système
immunitaire entreprendre la lutte.
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