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jeudi 14 décembre 2017

La moule confuse sur le matériau super glissant



Des moules colonisant sont malgré leurs petites tailles un problème coûteux pour les compagnies maritimes. Ces mollusques, qui en grand quantités s’attachent sur les coques, peuvent considérablement réduire la vitesse et augmenter la consommation de carburant d'un navire. Un autre aspect très inquiétants est que les bateaux risquent de transporter et propager des espèces envahissantes - un exemple est la moule verte asiatique, Perna viridis.

De les enlever manuellement est coûteux et prend du temps. De la peinture toxique est aujourd'hui une des rares armes disponible pour réduire ce problème. Mais, des flocons se détachent, ce qui est très mauvais pour l'environnement. Des efforts acharnés sont par conséquent poursuivi pour développer des alternatives non néfastes. Des chercheurs de l'université de Harvard semblent maintenant avoir trouvé une possible solution.

Ils ont modifié une matière plastique sur laquelle Perna viridis s’attache facilement. Cependant, les chercheurs l’ont saturé avec un gel hydrophobe à base de silicone. Cette substance forme une fine couche lisse sur la surface qui aussi comble toutes les irrégularités microscopiques. S’il y a des usures sur la surface les pores dans le plastique agissent comme un réservoir qui les réalimentes.

Lorsque les moules cherchent un endroit pour se fixer, elles le font avec aide d’un genre de pied qui aux bout extraite un fil d’attache composé de kératine et d’autres protéines. Pourtant, placé sur le matériau super glissant le Perna viridis devient complètement confus. Soit qu’elle n’extraire aucun fil soit qu’elle s’attache à son propre coquille.

Le chercheur de l'université a déjà commercialisé l'utilisation de cette surface dans d'autres domaines. Par exemple pour empêcher du sang ou des bactéries à s'attacher aux implants médicales.

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