Peter Englund est le secrétaire perpétuel de
l'Académie suédois, un titre qui aussi signifie qu'il
est le porte-parole officiel. Il est également un
écrivant et un historien doué. Tous ses livres méritent d’être lus pour la représentation
humaines et la beauté de la langue.
Je viens de finir : Vingt
destins dans la Grande Guerre : La beauté et la douleur des combats. Pourtant, donné que je suis sur la liseuses KOBO de FNAC, où le
choix est assez limité, je n’ai pas trouvé la version français et j’ai dû me
contenter avec la version anglais. Je suis peu déçu de la traduction que je trouve a perdu la
pertinence habituelle de Englund mais c’est peut-être un prix qu’il faut payer pour
tous changement de langue.
Lorsque la Gand
Guerre a éclaté dans le chaud Août
de 1914, la période romantique et nationaliste des
années 1800 avait fait son œuvre. Ce n'était pas l'horreur et la terreur de la guerre qui a frappé les gens, le sentiment dominant
était excitation. Les femmes et les hommes se réjouissaient du danger masculin, la
beauté de la bataille et l’austérité
nettoyant de la guerre.
Dans son œuvre Peter Englund
a entamé toutes les difficultés des
paradoxes d’une guerre qui nous obligent à regarder dans
une autre époque comme si c’était maintenant. À travers des
centaines de lettres, de journaux
et de documents littéraires il nous met
ne pas seulement sur le champ de bataille mais aussi loin derrière les lignes, dans le
cœur de la vie civile, dans les chambres d’enfants, dans les cafés
et dans les bordels.
L’instituteur Udo Kraft est la première personne
introduite. Il est un individu avec des intérêts philosophiques
et il a quarante ans plus. Udo est
tué déjà le 22 Août: « Nous ne pouvons pas savoir ce qu'il a ressenti dans ses derniers moments, mais il est possible que ça serrait de la bonheur. ».
Ernst von Levetzow est officier sur la fierté de la marine allemande, le « SMS Emden ». Ernst prend plaisir à regarder des milliers de marsouins dans la mer des moluques. Il aime aussi la prise du butin de guerre de la vapeur indien « Indus » : Serviettes, savons, pralines de chocolats au brandy, jumelles, canards vivants, et des liasses de papier attachés avec rubans roses. L’équipage acclame mais prend mal le fait d’être obligé de faire plonger le navire magnifique.
« SMS Emden » traverse les océans sans aucune égratignure. C'est presque bizarre mais le 22 novembre il est heurté par trois grenades et sombre dans la mer près des îles Cocos. Ernst von Levetzow est l'un des tués.
Ernst von Levetzow est officier sur la fierté de la marine allemande, le « SMS Emden ». Ernst prend plaisir à regarder des milliers de marsouins dans la mer des moluques. Il aime aussi la prise du butin de guerre de la vapeur indien « Indus » : Serviettes, savons, pralines de chocolats au brandy, jumelles, canards vivants, et des liasses de papier attachés avec rubans roses. L’équipage acclame mais prend mal le fait d’être obligé de faire plonger le navire magnifique.
« SMS Emden » traverse les océans sans aucune égratignure. C'est presque bizarre mais le 22 novembre il est heurté par trois grenades et sombre dans la mer près des îles Cocos. Ernst von Levetzow est l'un des tués.
La jeune femme Laura
de Turczynowicz fuie le 11 Septembre avec ses enfants et ses serviteurs sa succession
à Suwalki dans la Pologne russe. Le 24
Octobre, elle revient. Tout a été écartelé, brisé, renversé,
souillé. Le sol est couvert d’éclats
de verre et livres déchirés. Dans
le garde-manger avec des bocaux de verre
soigneusement alignés tout a été vidé de
leur contenu de miel, de confiture,
de tomates et de poivrons. Au lieu,
ils sont remplis de
matières fécales.
Sarah Macnaughton
de Londres est une suffragette
qui a autour de cinquante ans. Elle sort en tant que bénévole en Flandre avec l'unité d'ambulance de St Clair Stobart.
Le lundi le 28 Septembre
elle décrit dans son journal des différentes manières dont les hommes montrent leurs souffrances : « Certains d'entre eux enterrent leur tête dans l'oreiller, du manière que les perdrix blessés essayent de se plonger parmi les feuilles d'automne ».
Sarah est dégoûté par le champ de bataille, mais elle a un vu pour le paradoxe de la guerre: « Bien qu'il y ait une magnifique liberté de se trouver dans le milieu de la mort - une sorte de bonheur qui se n’explique pas ».
Peter Englund sait reproduit
tous ces voix de
la guerre, des soldats, des médecins, des
artistes, des jeunes mères, des capitaines et des écolières. Son roman et de la
histoire qui rend les humains vivante.
Le document se termine par un récit à suspense. La jeune Vera Brittain et le sous-lieutenant myope Roland Leighton se rencontrent à Londres à la veille du Nouvel An. Ils se rendent compte qu’ils sont amoraux - et peut-être qu’ils ne pourront plus se revoir.
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