Un placebo est une substance sans principe actif mais qui,
en raison de son aspect, peut agir par un mécanisme psychologique sur un sujet
croyant prendre une substance thérapeutique. En bref, nous somme sensible à la pure imagination.
L’effet est très répandu et agit un peu
partout. Le goût d’un plat ou une boisson dépend par exemple de la
présentation. Il y a aussi des variations locales. Les américains régissent
plus positivement aux injections qu’aux comprimés sans effet médicale. Chez les
européen c’est l’inverse.
Sur un niveau
subconscient nous sommes très profondément
touchés par les couleurs. Il s'avère que notre perception sur la façon dont fonctionne
un comprimé médical aussi en dépend.
Les chercheurs ont
appris que les pilules placebo
jaunes sont les plus efficaces pour
traiter la dépression, tandis que les rouges rendent le patient plus alerte et éveillé. Pilules vertes aident à soulager
l'anxiété mais pour des problèmes de ventre il vaut mieux qu’elles
soient blanches.
Le plus qu’ils sont avalés le mieux c’est.
Pilules prises 4 fois par jour sont meilleures que les prises 2 fois par jour.
Peu étonnant, le nom de la marque et la taille a aussi un effet.
Filet de poisson ou
juteux filet de poisson à l’italien ?
Une étude récente, rapportée dans le journal International
Journal of Hospitality Management, rend clair que le placebo aussi est éminemment présente
aussi dans nous compréhensions des menues. Elle affirme que
les plats aux noms séduisants
à la fois nous font payer plus et penser que le goût est meilleur.
L’étude comprend des choix dans 217 menus différents.
Les noms des plats ont été montré
avoir un impact significatif sur le
choix des clients. Le juteux
filet de poisson italien
vendait 28% plus que le filet de poisson. Les clients pouvaient également envisager de payer 12% plus pour un plat avec un nom alléchant.
Des appellations présentées
en gras ou avec des couleurs anormales, augmentaient aussi la popularité.
Malgré le fait que des nombreux restaurants
ne voulaient pas des photos dans le
menu, cela avait un effet positif sur les choix.
Je ne doute pas les conclusions mais je doute qu’elles
soient générales. Car les américains ont une autre manière d’utiliser les superlatifs
que les européens. Chez nous il est considéré comme peu sérieux de les utiliser
en descriptions ou manuelles, en États-Unis il est normal.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.