D’une plante carnivore à un super-verre

L'odeur du nectar attire les insectes à la plante carnivore sarracénie pourpre. Mais, quand ils atterrissent, ils sont étourdis et glissent vers le fond de la cruche car l’intérieure de la fleur est extrêmement glissante.

Par bio-imitation des chercheurs chez l’Université de Harvard ont maintenant réussi à concevoir un nouveau revêtement pour verres qui est super glissant et empêche tout genre de saleté de s’adhérer.

Contrairement à d'autres surfaces autonettoyantes se revêtement ne repousse pas seulement des substances solubles dans l'eau, mais toutes genres de défis collants comme par exemple du miel et de la graisse. En tel surface rend impossible pour des bactéries de établir des cultures. Le revêtement transparent améliore aussi les propriétés mécaniques du verre et le protège contre rayures et givrages.

L'astuce pour réaliser ces caractéristiques est une structure hexagonales, ressemblant un nid d'abeilles, où un lubrifiant est stocké dans chaque cellule.

Le processus de création commence avec une matrice de petites perles sphériques de polystyrène sur la surface d’un verre plat. Puis, un verre liquide est versé jusqu'à ce que les perles soient enfouies un peu plus qu’à la moitié. Après la solidification le polystyrène est brûlés laissant un paysage de cratères ressemblant à un nid d'abeilles. Finalement ils sont remplis d’un lubrifiant de composition apparemment secret.

La prochaine étape est d'élaborer la méthode de sorte qu'il fonctionne mieux sur des surfaces courbes et le plexiglas. Les chercheurs sont aussi en train d’adapter le système pour des besoins tels que des fenêtres anti-rayures, des lentilles dans systèmes optiques et des panneaux solaires.

Les essuie-glaces des voitures semblent menacés d’extinction, surtout parce que ce nouveau revêtement aussi repousse de le givre. Cependant, dans ce domaine il est concurrencé par un système utilisant ultrasons, actuellement installés en avions.