Pages

dimanche 3 août 2014

Le retour de l’ortie



L’ortie est une plante qui est venimeux et qui laisse de grands gonflements urticants sur les membres. C’est pourquoi il est un peu difficile de l’apercevoir comme quelque chose de doux et confortable contre la peau. Pourtant, les fibres dans la tige sont excellant pour fabriquer un tissu et autrefois elle était préparée de la même manière que du lin.

L’origine de l'ortie est Europe. Les fouilles en Royaume-Uni indiquent que le savoir-faire d'utiliser l’ortie comme matière de textiles est venu avec l'invasion anglo-saxonne.

Une tombe de l’âge du bronze dans Voldtofte en Danemark a été fouillée en 1942. Les archéologues trouvaient des fragments de textiles qu’ils pensaient être du lin mais, dans l'enquête approfondis, ils se sont avéré être l'ortie.

Des tombes fouillées en Suisse montrent que l'ortie a été utilisée avant le lin et la laine. À partir de ces fibres les gens fabriquaient aussi un fil blanc qu’ils utilisaient comme lignes et filets de pêche.

Dans le folklore, il est dit que l'on pouvait guérir la fièvre en accueillant les orties avec les racines, tout en récitant les noms des malades.

L'ortie est aussi l'un des neuf herbes sacrées dont les autres sont le cresson, la camomille, le fenouil, le plantain, le cerfeuil, l'armoise et la pommette.

En Pologne, le fil d’ortie a été utilisé du XIIe siècle au XVIIe siècle jusqu’à son remplacement par le fil de soie. Durant la Première Guerre mondiale, les Allemands utilisaient ces fibres pour fabriquer des tentes, des sacs à dos, des maillots de corps et des chaussettes. 85 % de leurs vêtements étaient fait de fibres d’ortie partiellement parce que la couleur naturellement verte est un bon couleur de camouflage. Cette usage a pris fin avec l’arrivé du coton peu cher et plus tard les fibres synthétiques.

Professeur G Bredeman a pendent la Grand Guerre fait des travaux importants pour trouver la meilleur type d'ortie pour textiles. Ils ont été redécouverts en 1990. Le département pour la botanique appliqué de Hambourg a appliqué et reçu un financement de l'UE pour étudier les possibilités pour une culture commerciale d'ortie. Donnés les importants aspects écologiques, un nombre croissant d’autres projets ont été consacrés à ce culture car l’ortie est une plante d’autre usages multiples tels que nourriture, médecine, alimentation des animaux et engrais.

Bien qu'on ne plus utilise de fibres d'ortie en Europe, cela est fait dans d'autres parties du monde. Ramie est fabriquée à partir de fibres de l'ortie asiatique qui sont cultivés en par exemple l'Himalaya.

Pour la préparation il faut premièrement enlever la peau puis laisser sécher au soleil pendant trois jours. Ensuite, les tiges sont trempées dans l’eau pendant dix jours, puis rincer à l'eau.

Ce processus ne fonctionne pas avec l'ortie européenne parce que des procédés chimiques sont provoqués par la forte teneur en sucre. Au lieu il faut tremper dans l’eau courante.

Il existe un mouvement pour restaurer la fibre d’ortie et des maisons de modes ont déjà montré des œuvres sur des passerelles. Le tissue fonctionne actuellement mieux pour vêtements peu douces mais avec de la recherche on espéré de pouvoir produire d’autre variantes. Les fibres longues ont un lustre élevé et ils sont plus forts que le lin.

La disponibilité de l'ortie sauvage ​​semble inépuisable, mais pour investir dans une fabrication de tissu en grande échelle, il faut des cultivassions commerciales. La technique est assez simple. On met des racines dans la terre est récolte pendant 10 ans. Néanmoins, pour le rendre la culture économique il faut apprendre d’utiliser tout la plante.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.