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dimanche 13 décembre 2015

Remplaceront ils les combustibles fossiles ?





Le COP21 vient de finir et le résultat est comme toujours dans ces contextes un compromise politique qui ne plaise aux amies de la nature. Heureusement il n’est pas les politiciens qui mènent la dance mais les chercheurs, les ingénieures et les chefs d’entreprises qui voient les possibilités plutôt que les problèmes.

Des nouveaux concepts pour réduire les émissions de CO2 sont présentés presque tous les jours. Un des derniers est de brûler des métaux au lieu combustibles fossiles.

Dans la vie normale il est rare de voir de métaux brûler mais si dispersés comme une fine poudre dans l’air ils brûlent bien. Leur avantage est que quand ils réagissent avec l'air ils forment des oxydes qui sont stables, non toxiques et facile à  collectionner pour recyclage.

Les flammes dans un flux d’air portant un poudre d’un métal ressemble beaucoup des flammes de hydrocarbures, sauf la couleur. Les quantités d’énergies libérées sont similaires. Evidemment, il n’est pas possible de les utilisé pour combustions internes, comme dans des moteurs de voitures. Pour produire énergie mécanique les options sont d’utiliser le veux principe de moteur à vapeur ou des moteurs Stirling.

Le métal le plus le plus approprié et le fer. Pour le recyclage il est possible d’utiliser la même procédure employé pour fabriquer du fer à partir de minerai, c’est-à-dire réduction avec charbonne. Ce processus émet beaucoup de CO2 mais l’avantage est qu’il est beaucoup plus concentré que dans une combustion d’hydrocarbures où la plus grande partie des échappements est le gaz azote.

Si le carburant de métal aura un avenir dépend donc sur la technologie de stockage de CO2 produit dans le recyclage.

La procaïne étape pour ces chercheurs est de concevoir un moteur pour plus concrètement montrer la possibilité.

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