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mercredi 2 décembre 2015

Interprétations chez la police



Il arrive de plus en plus que la police doit interroger des personnes qui ne parlent pas leur langue. N’importe si l’individu est un suspecte, une victime ou un témoigne la présence physique d’un interprète est un problème car sa conversation avec l’interrogé risque de se développe à un sorte de complicité. Dans la grand majorité de cas il est sert involontaire mais il donne au policier le sentiment qu’il n’est plus le maitre de la situation.

Ce problème a maintenant eu une solution technologique. Le système est composé d'écouteurs, microphones et une unité centrale qui automatiquement commute le son en fonction de celui qui parle et l'envoie via l'interprète dans la bonne direction.

L'effet est que le policier voit les lèvres de la personne interrogé bouger dans une langue étrangère mais qu’il au même temps entende le vois de l’interprète dans ces oreilles. Il peut donc voir le langage corporel pendant qu’il entende l'interprète,

Le système rend aussi possible pour l'interprète de traduire à distance parce que un des liens peut être connectés à un téléphone. Comme bonus l’interprète a moins besoin de voyager et l’argent est économisé.

Un des défis dans le développement a été d’exclure des bruits distrayants, par exemple de la rue. Des filtres et un algorithme dans le logiciel qui recherche des hauts et des basses dans le son, sont la solution à ce problème.

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