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samedi 26 mars 2016

Comment reconnaitre du bon art



Ce chèvre, un ouvre de l’américain Robert Rauschenberg, a été acheté par le Musée de L’art Moderne de Stockholm dans les années 60. Il est actuellement assuré pour 100 millions euro. Mais, est-il un exemple de bon art ?

Le goût est personnel et nul ne peut réclamer d’avoir la faculté de reconnaitre un bon ouvre d’art. Pourtant, il existe de la recherche sur le sujet. Un effort de la résumer a été fait dans l’article The Perception and Evaluation of Visual Art. Il propose 5 aspects sur lesquelles les spectateurs généralement fondent leurs évaluations mais tous les 5 n’ont pas besoin d'être simultanément présents.

Le sentiment
Est-ce que l’œuvre invite d’être émotionnellement impliqué, positivement ou négativement ? Pourtant, il n’est pas la nature des sentiments qui sont essentielles, mais leurs intensités. Même si logiquement contradictoire, il est possible d’aimer un ouvre d’art qui réveille des sentiments négatives.

Esthétique
Est-ce que l’œuvre est esthétiquement agréable ou beau ? Pour le large public cet aspect est souvent le plus important, surtout pour les objets d’art dans les maisons.

Compétence
Est-ce que l’aspect artisanal est impressionnant ? Nous somme attiré par un artiste qui montre des talents techniques. Les talents hors du commun sont très appréciés et surtout s’ils sont loin de ce que nous pouvons faire nous-même.

Stimulation intellectuelle
Est-ce que l’œuvre stimule à réfléchir ? Quand quelque chose défies nos normes ou habitudes, il incite aux nouvelles pensées sur la nature des choses.

Créativité
Est-ce que l’œuvre est perçue comme innovante ou originale ? Il y a beaucoup d’exemples sur des aspects de la vie qui ont été important pour des artistes mais n’ont pas été appréciés pendant leur durée de vie. Du bon art comprend souvent des idées qui sont un peu en avance de la société contemporaine.

Un bon objet d’art n’est donc pas nécessairement beau. En effet, la beauté n’existe que comme un contraste à la laideur. On pourrait donc argumenter que la chèvre avec le pneu, qui est laid, rende les œuvres entourant beaux.

Et, ne serait-il pas un bon geste amicale de s’habiller en haillons pour rendre ces amis plus chiques ?


Qui veut entrer en compétition avec les beaux œuvres de Dieu ? À cause du danger potentiel, il ne vaut mieux pas essayer. Il est dit que les monstres peint par de Maoris sont basé sur cet argument.

Cependant, la raison fondamental pour la valeur hallucinant de la chèvre avec le pneu n’a rien à faire avec ces réflexions. Elle est si estimé parce qu’elle marque un début d’une époque dans l’art moderne.

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