Photovoltaïque et camions à ordures

 Des camions à ordure au biogaz sont devenus commune en Suède. Le problème est qu’ils ont moins d’autonomies que leurs correspondants au diesel, guère 160 km. Une solution serait de les équiper avec un plus gros réservoir de gaz mais cela pénalisera leur capacité de transport.    

Au lieu c’est la piste photovoltaïque qui maintenant sera examiné. Un camion à ordure a une importante surface horizontale sur la toiture, environ 30 m2. La règle de pouce est que 1 m2 produise 100 W mais donné que le climat est peu ensoleillé la contribution sera moins mais totalement quand même sur l’ordre de 1 kW.

L’idée est de laisse cette énergie alimenter les phares, l’élévateur  et tous les d’autres appareilles électriques. Dans cette manière le générateur, trainé par le moteur, est soulagé qui économisera du carburant. C’est avec cette mesure que l’entreprise Focal Earth, a réussi de prolonger l’autonomie d’un fourgon de 30%.

Cependant, l’environnement sur un camion à ordure est rude. Le panneau doit résister à des routes cahoteuses, des branches d'arbres qui grattent le toit, lavage de haute pression et produits chimiques agressifs.  

Les premiers tests seront fait avec un panneau photovoltaïque flexible fournit par Focal Earth. Tous les détails sur ce matériel ne sont pas connus mais il s’agit de cellules solaires à base de silicium sur un substrat en plastique, fabriqués en Suisse et initialement développé pour l'industrie aérospatiale.

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Les panneaux solaires de Focal Earth ressemblent à un « papier peint » et consiste à un couche mince de silicium amorphe déposé sur un substrat de plastique. Le « papier peint » a l’épaisseur de 1 mm et pèse 1,4 kg par m2.

Ces panneaux capturent rayonnement aussi incident avec un angle considérable et ils continuent à fonctionner même si troués - seules les cellules endommagés échouent.

Le calcule préliminaire pour le coût de production et l’assemblage est d’environ 1,2 €/W.