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jeudi 26 juin 2014

Un robot intelligent qui sait trier des débris




Pierres, briques, métaux et bois, ces débris d’une construction arrivent sur un convoyeur et le robot les saisie une par une et les met dans la bonne fente. De plus, il fait son travail sans déjeuner ou pause de café.
 
Ce travailleur acharné et précise parvienne à ramasser 2 000 pièces par heure. Il a été conçu par l’entreprise finlandaise Zen Robotics qui a 45 employés. À l’heure 5 systèmes de recyclage ont été vendu. Outre que les robots sont rapides, ils font une tâche qui à la fois est lourd, poussiéreux et parfois nécessite un traitement d’objets pointus et dangereux, dont il est difficile de recruter des personnes.

Que les robots trieraient des débris était loin de sûr lorsque la société a été fondé par des chercheurs dans le domaine d'intelligence artificielle en 2007. Ils voulaient faire quelque chose de cool avec des robots, mais ils ne savaient pas exactement quoi. Puis, le tri des déchets est apparu comme une tache à la fois beaucoup demandé et difficile à réaliser. Après 3 ans de développement, le premier système a été installé en 2012.

Les robots sont fondamentalement des robots industriels. L’extension qu’a faite Zen Robotics est de les équiper avec caméras, scanners, détecteurs de métaux et d'autres capteurs qui rend possible de reconnaître différents type d’objets. Toutes les données sont analysées en temps réel car les robots doivent travailler vite.  

Les robots ont aussi un système d’auto-apprentissage. Le plus qu’ils travaillent, le plus ils apprennent, par exemple comment mieux saisir objets de toutes sortes.

Un autre domaine est trie de déchets plastiques. Le grand avantage avec le système est que les robots ils ont un capteur de lumière infrarouge, qui les rend capable à faire la distinction entre différentes types de plastiques.

En vue qu’il est facile pour les robots de par exemple distinguer entre une carotte droit et une carotte courbé, l’industrie alimentaire est un autre client potentiel.

Dans les années à venir l’entreprise espère introduire le système en Europe.

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