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mercredi 9 janvier 2013

Fumier de chevales

Les propriétaires de chevaux et les écoles d'équitation dans la région de Göteborg envisagent de créer sa propre production de biogaz. Au lieu de payer pour se débarrasser du fumier, il serait peut-être possible de le transformer à une ressource.

Le problème est que les écoles d’équitation sont prés des villes est loin de la campagne où le fumier est utile. Il faut donc payer pour que les agriculteurs fassent de longes voyage de transport. Un coût de plusieurs dizaines de mille euros par ans n’est pas une exception.

La production de biogaz est déjà pratiqué dans la ville allemand Lübeck où une entreprise traites le fumier d’environ 75 élevages de chevaux dans la région. 16 000 tonnes et une petite quantité d'ensilage de maïs sont consumées chaque année.

À partir d'un moteur à gaz l'usine produit 500 kilowatts de puissance électrique. La chaleur du moteur est utilisée pour sécher les restes, qui ensuite sont vendus comme engrais pour jardins.

Le fumier d’écuries diffère de fumier de bétails parce qu’il est plus sec. Il est aussi mélangé de divers types de sciure de bois, de paille ou de tourbe. Mais, pour que le fumier fonctionne bien dans une décomposition anaérobie les propriétaires des chevaux doivent au lieu utiliser des granulés de paille.

Ce sont des structures longes qui posent des problèmes dans la production. Ces grosses morceaux ont la tendance à flotter sur la surface et prend plus de temps à décomposer. L'inconvénient de granulés de paille, est le prix plus élevé.

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