Christine, ex-reine de la Suède, sur la mer
La reine Christine de Suède ne se sentait pas bien sur le trône. Elle s’intéressait plus pour des choses culturelles, religieuses et langues. Des nombreux savants d’Europe étaient invités à la cour, dont Descartes qui est mort en pneumonie. Mais, ils sortaient aussi vite lorsque leurs apanages promis n’étaient plus payé.
La stricte orthodoxie luthérienne ne la plaisait pas à Christine. Elle voulait se convertir au catholicisme. Donné que son père, Gustav II Adolf, en défendant la doctrine luthérienne est mort sur le champ de bataille, cela a causé un scandale énorme. Après 10 ans de règne, en 1654, elle a abdiqué. Le lendemain elle s’est mise en route pour le sud d’Europe.
Vers la fin de 1655 elle arrive à Rome. Mais le séjour se verrait différent que Christine avait pensé. Son franc-parler causait des problèmes pour l’Église catholique qui avait rêvé d'un invité riche et glamoureux mais les problèmes d'argent de la reine sont rapidement devenus apparentes. Elle s'est entourée aussi d’une petite cour sélectionnée sans respect pour la hiérarchie existante. La présence de Christine est rapidement devenue un scandale à Rome. C’est dans cette situation qu’elle a tourné son regard vers la France et décidé d’y aller.
Le 20 Juillet 1656 Christine, quitte le port de Padrona en Italie. Le bateau avait à peine détachait l'ancrage qu’il a subit des vents fortes. Un mât de la galère San Pietro a brisée, tombé et tué aux moins six personnes. Après avoir bravé les dangers infectieux en ancrant dehors Civita-Vecchia le voyage continuait en petites escales vers le nord, tout le temps près de la côte.
A cause du danger de la peste ils n'étaient pas autorisés d’accoster à nulle part. À Gênes Christine recevait les honneurs par le maitre cérémonielle de la ville grandiloquent criés de la poupe d'un autre bateau, alors qu'il s'accrochait à un poteau. Le commissaire de la santé de Gênes laissait en toute sécurité livré les cadeaux officiels de la ville, dont 6 fromages, 100 pigeons, 50 chapons, 50 dindes, 18 paniers de fruits, 24 torches et 200 bougies.
La petite escadre arrivait vers midi le 29 Juillet dans le port de Marseille. Le protocole a été scrupuleusement suivi. Dans des circonstances normales les galères devraient tirer des coups de salut, mais avec un monarque à bord, les coups venaient du port. 15 coups se faisaient entendre, bientôt contrarié par deux coups des galères, le signal de reconnaissance suédoise. Le voyage était fini et Christine estimait qu'il avait été bon.
Cependant, l'enthousiasme à Marseille était modéré. Tout d'abord, les marseillaises savaient que les bateaux venait d’une région frappé par la peste et les soupçons ne se tempéraient pas par le fait qu’il est devenu connu que 11 membres d'équipage sont morts de fièvre pendant le voyage, parmi eux 7 sur la bateau de Christine, 3 soldats et 4 galériens.
Une foule menaçante et en grand colère, pour la plus part composé de marins, s’est introduit dans la salle d'audience de la mairie où elle réclamait que le débarquement de Christine soit arrêté. De plus, les consuls de la ville, le gouverneur de la province et le représentant du roi français, qui mutuellement se contestaient la responsabilité, n'avait pas eu le temps de faire tous les préparatifs nécessaires. Ils voulaient aussi retarder le débarquement.
Ainsi, alors qu’on frénétiquement construisait l'embarcadère, la litière, le baldaquin, des arcs de triomphes et les discours d’accueille, on délivrait des prétextes de nature divers à une Christine toujours plus impatient. Il est seulement après avoir menacé d’accoster dans un autre port qu’elle a été autorisée à entrer dans Marseille.
La stricte orthodoxie luthérienne ne la plaisait pas à Christine. Elle voulait se convertir au catholicisme. Donné que son père, Gustav II Adolf, en défendant la doctrine luthérienne est mort sur le champ de bataille, cela a causé un scandale énorme. Après 10 ans de règne, en 1654, elle a abdiqué. Le lendemain elle s’est mise en route pour le sud d’Europe.
Vers la fin de 1655 elle arrive à Rome. Mais le séjour se verrait différent que Christine avait pensé. Son franc-parler causait des problèmes pour l’Église catholique qui avait rêvé d'un invité riche et glamoureux mais les problèmes d'argent de la reine sont rapidement devenus apparentes. Elle s'est entourée aussi d’une petite cour sélectionnée sans respect pour la hiérarchie existante. La présence de Christine est rapidement devenue un scandale à Rome. C’est dans cette situation qu’elle a tourné son regard vers la France et décidé d’y aller.
Le 20 Juillet 1656 Christine, quitte le port de Padrona en Italie. Le bateau avait à peine détachait l'ancrage qu’il a subit des vents fortes. Un mât de la galère San Pietro a brisée, tombé et tué aux moins six personnes. Après avoir bravé les dangers infectieux en ancrant dehors Civita-Vecchia le voyage continuait en petites escales vers le nord, tout le temps près de la côte.
A cause du danger de la peste ils n'étaient pas autorisés d’accoster à nulle part. À Gênes Christine recevait les honneurs par le maitre cérémonielle de la ville grandiloquent criés de la poupe d'un autre bateau, alors qu'il s'accrochait à un poteau. Le commissaire de la santé de Gênes laissait en toute sécurité livré les cadeaux officiels de la ville, dont 6 fromages, 100 pigeons, 50 chapons, 50 dindes, 18 paniers de fruits, 24 torches et 200 bougies.
La petite escadre arrivait vers midi le 29 Juillet dans le port de Marseille. Le protocole a été scrupuleusement suivi. Dans des circonstances normales les galères devraient tirer des coups de salut, mais avec un monarque à bord, les coups venaient du port. 15 coups se faisaient entendre, bientôt contrarié par deux coups des galères, le signal de reconnaissance suédoise. Le voyage était fini et Christine estimait qu'il avait été bon.
Cependant, l'enthousiasme à Marseille était modéré. Tout d'abord, les marseillaises savaient que les bateaux venait d’une région frappé par la peste et les soupçons ne se tempéraient pas par le fait qu’il est devenu connu que 11 membres d'équipage sont morts de fièvre pendant le voyage, parmi eux 7 sur la bateau de Christine, 3 soldats et 4 galériens.
Une foule menaçante et en grand colère, pour la plus part composé de marins, s’est introduit dans la salle d'audience de la mairie où elle réclamait que le débarquement de Christine soit arrêté. De plus, les consuls de la ville, le gouverneur de la province et le représentant du roi français, qui mutuellement se contestaient la responsabilité, n'avait pas eu le temps de faire tous les préparatifs nécessaires. Ils voulaient aussi retarder le débarquement.
Ainsi, alors qu’on frénétiquement construisait l'embarcadère, la litière, le baldaquin, des arcs de triomphes et les discours d’accueille, on délivrait des prétextes de nature divers à une Christine toujours plus impatient. Il est seulement après avoir menacé d’accoster dans un autre port qu’elle a été autorisée à entrer dans Marseille.
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