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mardi 8 novembre 2016

Les ressources d'électricité géothermique sont-elles sous-estimées ?



Dans plusieurs lieux prés de volcans il y a des colonnes de vapeur qui sort directement du sol, par exemple en Islande, les Philippines et l’Indonésie. Certains sont utilisés pour générer de l’électricité. Le courant islandais est à tant que 21% d’origine géothermique.

Il y a aussi des sources de chaleur plus profondes ici et là. En France ils sont estimés à l’équivalant de 3 réacteurs nucléaires. Evidemment il faut percer à plusieurs kilomètres pour les accéder, ce qui coûte cher.

Cependant, il n’est plus sûr que les estimas qui ont été fait sont valable et cela à cause de 2 nouvelles technologies.

Le premier est thermodynamique. Au fond il y a Sidi Carnot qui en 1824 a montrer que le rendement d’un cycle thermodynamique augment avec la différence de température entre la source et le puis. C’est pourquoi la température dans une station qui génère de l’électricité à partir de combustibles fossiles est très chaude, atour de 500 C, qui donne un rendement de plus de 40%.

Il est évidemment possible de produire électricité à partir de sources moins chaude mais dans ce cas le rendement devienne plus modeste. À partir d’une source de 100 C et un puis de 30 C le rendement théorétique n’est que 19%, qui à case de toutes les pertes dans le cycle n’est pas possible d’atteindre.

Pourtant, des éjections de chaleur autour de 100 C ne sont pas rare dans l’industrie mais jusqu’à maintenant elles ont été considéré comme des pertes inutilisables. C’est qu’a changé l’entreprise Climenon. Avec leur cycle appelé C3, (Carbon Carrier Cycle), (du CO2 en interaction avec l’eau), il peut attendre des rendements ne jamais vu pour des sources de températures atour de 100 C.


Une autre technologie récemment développé est la fracturation hydraulique, c’est-à-dire la possibilité de créer une multitude de fissures à grand profondeur dans des structures rocheuses. Elle permettrait potentiellement de faire circuler l’eau dans une source de chaleur de kilomètres de profondeur.

Climeon a maintenant signé un accord pour tester leur technologie aux États-Unis. Le but est d’extraire l'électricité à partir de l'eau chaude dans des forages de 2 km existants. La première étape comprend 8 modules qui produiront 1 MW d’électricité pour un centre de serveurs.

Pour totalement couvrir le besoin du centre il est estimé qu’environ 350 modules de totalement 50 MW seront nécessaires. Si les premières testes sont satisfaisantes c’est une possibilité future et aussi de développer des unités beaucoup plus gros.

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