Pages

samedi 9 avril 2016

L’équipe globale qui fonctionne bien, un rêve ?



Est-ce que je peux venir chez toi ? Oui. On pourrait penser que se « oui » est absolue. En effet, les « ouis et nons » sont rarement absolues mais remplies des conditions culturelles.

Le « oui » au-dessus comprend par exemple la condition que le visiteur ne crache pas sur mon parquette. Il serait évidemment une insulte de le dire ouvertement parce que nous nous attendons que des gens aient de la culture. Le souci dans ce contexte est que la normalité et la politesse varie d’une culture à une autre.

Dans ce contexte il ne faut pas non plus limiter la culture à l’origine géographique d’un individu. Il existe tant des cultures locales et cultures des entreprises. 

Des emplois modernes comprennent beaucoup de contacts internationaux. Dans un telle environnant il faut savoir qu’il y a une montagne de mal compris et même des véritable pièges qu’il faut essayer d’éviter. De savoir écouter et être réactif est une nécessité. C’est qu’on apprend dans des workshops de communication interculturelle qui maintenant sont devenu populaires.

La clef est de trouver de bonnes méthodes de communication. Le pire est le silence. Il est si difficile parce que dans certaines cultures il peut signifier qu’on est d’accord mais dans l’autre qu’on est frustré.

Même si on a réussi de surmonter cette difficulté il y a toujours le problème de la définition de oui et non. Au Japon et Chine la culture de ne pas perdre la face est par exemple si forte qu'ils automatiquement disent oui sur la question s’ils ont compris. De dire non signifierait soit qu’on les a mal expliqués et un tel critique est contre leur idée de politesse, soit qu’ils ne veulent pas se montrer stupide.

Dans ces cas il faut savoir chercher les non indirects. « Peut-être » ou « je vais essayer » sont des exemples. Il faut aussi essayer de trouver les oui directs. Par exemple « oui, je le ferai avec plaisir », ou une semblable expression d'amplification.

Un autre grand problème est comment les décisions sont prises. Dans certaine entreprise la hiérarchie est forte. Un « oui » d’un employé peu inclure la condition « si mon chef est d’accord » même si il n’est pas ouvertement dit.

Pendant ma vie professionnelle dans une entreprise internationale avec tant des contacts intérieurs et extérieurs mon liste de problèmes potentiels est très longe. Je me restreins ici de relater un.

Je travaillais avec le refroidissement des composants électroniques. Mon grand souci était d’identifier des éventuels problèmes très tôt dans le processus de conception. « Que faire si…. ». Cette façon de préparer un plan B, C ou plus, pour couvrir tous éventualités, fonctionnait très bien à l’intérieure de l’entreprise. Cependant, il comprenait de respecter que les première données suivant sont approximatives et donc seulement utilisables pour un scenario hypothétique. Si….

Quand j’ai coopéré avec des entreprise externes mes contacts ont suivant été avec des personnes qui avait l’idée que tous qui sort d’eux, pour la réputation de leur entreprise, devrait être absolument correct. Donné cette restreinte je ne pouvais pas faire mon travail correctement et des grand projets, avec des budgets de millions, risquaient de finalement échouer sur la question du refroidissement.

Cette difficulté n’a rien à faire avec la définition de oui et non mais elle est un exemple des nombreuses difficultés qui existe quand on travaille à travers des sphères culturelles.

Des workshops de communication interculturelle sont bien mais il ne couvre que les problèmes les plus fréquentes.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.