Un, deux, trois – yksi, kaksi, kolme. Le
finnois est une langue de la famille ouraliennes et ne pas indo-européennes comme les plus part des langues en Europe. Seulement quelques peu
mots finnois ont infiltré dans la langue française par exemple sauna, kuksa et suomi.
Pourtant, il semble que la situation est en
train de changer. La raison est simple. Dans notre monde moderne il n’est pas
de tout sur qu’un jeune trouve un travail prés de ses parents et parfois il
faut même aller à l’étranger. Cela veut dire que les finnophones qui aussi
savent le suédois ont plus de chance à trouver un poste dans des pays
Scandinaves. Certains parents en sont très conscients et font ce qu’ils peuvent
pour améliorer l’éducation de leurs enfants.
L’immersion linguistique, ou en suédois : språkbad
= bain de langue, est une méthode qui depuis quelques temps a été pratiqué en
Canada et maintenant il a fait son apparition en Finlande. L’idée fondamentale
est simple : Les élèves finnophone, préférablement depuis jeune âge, sont
placés dans un environnement ou le suédois est la langue principale de
communication.
Une linguiste, Marjo Savijarvi,
a pendant quelques années a visité une crèche qui pratique l’immersion
linguistique avec une caméra vidéo.
Les enfants du même âge n'avaient aucune connaissance préalable
de la langue suédoise. Des clips, des
transcriptions, des discussions et
des événements qui ont eu lieu montre
comment les enfants graduellement apprennent suédois sans qu’ils ne vraiment pas s’en rendent compte.
« Auparavant il a
été beaucoup étudié ce que les
enfants apprennent à l'immersion et
la pédagogie pratiqué. J'ai plutôt essayé de décrire
la façon dont le processus d'apprentissage
fonctionne, du point de vue d'un enfant. On a beaucoup parlé de
l’importance stimuler les enfants à parler la langue
de l'immersion autant
que possible. Portant, ma recherche souligne toutefois l'importance de la langue finnoise. Leur connaissance du suédois et au
début plutôt centré sur « ici et maintenant » mais dans leur langue maternelle ils peuvent dépasser ces limites. Dans ces conversations les enseignantes ont aussi
la possibilité d’introduire le suédois dans des situations où la langue est plus abstraite ».
En Helsinki autour de 4500 élèves finnophones ont commencé l’école
cette année mais ils sont seulement 3% en immersion linguistique. Dans
la ville de Grankulla ils sont 30% et à
Vaasa plus de 10%. Des nombreuses familles sont dans des files d'attente, mais les villes hésitent.
Le manque d'enseignants d'immersion
linguistique pertinents a été mis
en avant comme cause.
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