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vendredi 18 juillet 2014

Énergie de la mer



Il aura une transition énergétique en France. Il est inévitable car le nucléaire est associé avec tant de problèmes. On en parle beaucoup et ceux qui suivent le sujet comprennent qu’il s’agit d’une transition vers les énergies renouvelables mais les mises en œuvre concrètes restent un mystère.

Dans des pays sans réacteurs nucléaire, comme par exemple le Danemark, la transition est déjà en cours. Le but est d’avoir 50% d’énergies renouvelables dans le réseau électrique en 2020. La première étape a été la construction d’éoliennes. Actuellement elles sont si nombreuses qu’il est devenu difficile de trouver des nouveaux locaux. C’est pourquoi la recherche danoise sur de nouvelles sources d’énergies maintenant aussi est focalisée sur la mer.

 Un des premières innovations pour extrader l’énergie des vagues a été fait par le professeur Stephen Salter de l'Université d'Edimbourg en 1974. En anglais elle est connu sur le nom « Salters Duck » en français appelé « Batteur de Salter », probablement parce que le mot canard en argot français a une notion de tromperie.

La forme de ce flotteur est si ingénieusement conçu qu’il, en basculant d'avant en arrière, dans des tests en laboratoires est capable d’extrader 80% de l’énergie des vagues. Mais, de l’adapter aux conditions de la mer c’est avéré difficile. Par exemple, lorsque plusieurs unités sont placés sur une longue ligne il y a un problème de les tous orienter parallèlement avec les vagues. Parce que le prix du pétrole a diminué dans les années 1980, il est devenu difficile de trouver un financement pour son développement.

Maintenant c’est l’entreprise danoise Weptos, une startup issue de l’université d’Aalborg, qui poursuive l’idée. Leur concept en forme d’un « V » et des flotteurs qui bougent séquencement, semble avoir résolu le problème d’orientation. Exactement comment les mouvements sont transmises à le générateur électrique n’est pas bien décrit.

Parce que le concept récupère énergie des vagues le long d'une grande étendue il devrait être plus économique que systèmes basés sur flotteurs individuels où chaque un a son générateur.

La puissance maximale pour une unité sera 4 MW. Cependant, le fait que le « V » se plie pour s’adapter aux conditions variables, rendra possible d’extrader entre 90 – 100% de cette puissance jour et nuit. 

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