Les traumatismes
personnels se propagent de manière exponentielle dans les médias sociaux et se
transforment en revenus lorsqu'ils sont partagés. Il s’agit d’un nouvel type idéal
incarné par bloggeuses et influenceuses sur internet. C’est la conclusion du rapport
avec le long titre : Agencing femininity: digital Mrs. Consumer in
intra-action
L’étude montre que la vie exposée
n’est pas la vraie vie de ces femmes mais plutôt une vie imaginaire exploitant l’image
de la femme au foyer glamoureuses. De plus, elles ne sont pas vraiment des
femmes au foyer mais des « acteurs » qui montrent ce que signifie d’être
une femme qui convient aux annonceurs.
La différence entre la
« vie réelle » de ces femmes et la vie présentée a un sens. Les
adeptes s'intéressent à la relation entre le réel et le fictif, ce qui la rend
commercialement intéressant. En particulier, c'est les changements du corps, la
décoration et le style de vie que ces bloggeuses incarnent qui sont prenants.
Pour réellement réussir à
gagner de l'argent sur leurs sites, ces femmes doivent divulguer de choses
privées et souvent devant une caméra. Des apparences qui expliquent dans quelle
manière elles se sentent mal entraînent des nombreux j’aime et commentaires. C’est
exactement le type de réponses que les annonceurs exigent et qui génère des
revenus pour les bloggeuses. En suivant les statistiques sur le nombre de
visites et les réactions de leurs adeptes, les bloggeuses peuvent mesurer
l'impact économique lorsqu'ils partagent quelque chose de personnel, comme par
exemple de se sentir pauvre ou avoir des problèmes de poids. Le plus qu’il y a
des interactions, le plus ces malheureuses bloggeuses deviennent heureuses.
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