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mercredi 25 novembre 2015

La corruption d’une autre époque



La démocratie est très apprécié dans le monde occidentale. Mais, quand les gens du monde s’expriment sur ce qu’il s’attende d’une bonne société, c’est l’absence de corruption qui prend la première place. Mondialement vu le niveau de la corruption est heureusement relativement bas dans des pays d’UE.

Cependant il n’a pas toujours été ainsi. La corruption n’a jamais été légitime, mais autrefois, il y environ 200 ans, toutes formes de corruption étaient si fréquentes qu’il y avait peu de protestes.

Le période 1719 – 1772 est en Suède appelé L’ère de la Liberté. Le pouvoir du roi avait été fortement restreint et sa signature remplacée par un timbre. Dans le parlement il y avait 2 partis, les bonnets et les chapeaux qui avec la terminologie de nous jours correspondrait à la gauche et le droit. Le pays était dévasté par des nombreuses guerres et pour maintenir la paix il fallait créer des liens avec des grandes puissances autours des frontières tels que la Russie, la Grand Bretagne et la France.

Un exemple typique de décadence est un incident de 1771 qui a rendu les membres des bonnets furieux parce que la corruption n’a pas  fonctionné comme prévu. Après avoir voté conformément à la volonté de Saint-Pétersbourg, les Russes étaient en retard de paiement. Pour obtenir ce que les parlementaires considéraient avoir mérité les parlementaires de la partie bonnets formulaient une lettre de demande à l'ambassade de la Russie. Ils exigeaient que plus de trois millions Dalers de cuivre soient payé en titre de compensation pour le service rendu.

Aucun politicien suédois contemporain n’a été particulièrement dérangé par ce fait. Certains se prétendaient indigné, mais c’était plus par piété que par réalisme. D’autres parlementaires ont reçu des sommes encore plus importantes de l'ambassadeur français.

À l’époque cette pratique n’était rien d'inhabituel et certainement ne pas spécifique pour la Suède. La corruption, les pots de vin et l'espionnage interne fleurissaient dans tous les pays européens. Les faits que rendaient les politiciens et les diplomates le plus consternés, étaient quand le système ne fonctionnait pas. C’est-à-dire si un fonctionnaire de haut rang soudainement refusait d’accepter un pot de vin, ou si un politicien se dévoilait problématiquement honnête. Dans ces cas, il y avait  quelque chose qui n’allait pas.

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