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mardi 8 septembre 2020

Les masques, il n'est pas si évident qu’ils freinent la maladie

Sans masque
Avec masques
Les diagramme montrent le nombre de cas constaté qui dépend des nombres
de tests. Dans les 2 cas le première vague a eu lieu en avril
. Les dernières
 parités des diagrammes reflet mieux la situation  
Je suis immigrant et mon ancien pays est la Suède. Beaucoup de français ont la tendance d’idéaliser ce pays et quand je raconte certaines de mes expériences ils s’étonnent. La Suède n’est pas le paradis sur la terre et beaucoup de chose fonctionnent mieux en France mais le contraire est aussi vrai.

Une amie, il y a quelques jours, m’a envoyé l’article Comment le masque réduit la gravité de la maladie. Il est écrit par un professeur de médecine et les observations décrites sont certainement corrects. Pourtant j’ai des raisons à douter la conclusion que les masques sont un moyen à efficacement réduire les infections de COVID-19.

Parce que le sujet et si important j’ai décidé de exposer mes doutes ici au lieu de répondre par mail.

A XXXX

Comme la grande majorité des français tu n’es pas sur la bonne piste sur l’utilité de masques. Mon argument est simple. En Suède, où les masques ne sont pas conseillés, il n’y a pas eu un deuxième vague et cela ne s’explique pas par un pays moins peuplé ou parce qu’il a été moins frappé.

Faits 1:
La Suède a été plus durement frappée par le virus que la France parce qu’il n’y a pas eu un confinement, (en temps de paix interdite dans la constitution). Par conséquence, il y a eu proportionnellement plus de meurs,  environ 15%

Fait 2 :
Il est vrai que la Suède est peu peuplée mais c’est à cause du grand nord. Les grandes villes sont comparables avec celle d’autre pays en Europe. Par exemple :
Stockholm  5 100 pers/km2
Marseille    3 500 pers/km2       

Il est vrai que les masques ont un certain niveau de protection quand examines dans des laboratoires. Il y a aussi des d’observations qu’ils peuvent bien fonctionner quand appliqué à grand échelle dans un lieu. Le problème avec ces observations est qu’il y a d’autres paramètres aussi importants qui ne sont pas inclus dans les analyses, tels la volonté à tenir de la distance et à rester chez soi en cas de moindre symptôme.

Si l’obligation à porter des masques par les gens est comprise comme un signal d’alarme que la situation est grave et les gens deviennent plus prudents, l’effet est positif.

Si le port de masque, dans n’importe manière, grignote sur d’autres important gestes de barrières, par exemple à tenir de la distance, l’effet est négatif.

Il y a quelques semaines que j’ai lu dans un journal « mettez un masque et tenez la distance ».Le journaliste avait renversé l’importance des choses. Si la distance est respectée les masques ont naturellement un effet positif. Cependant, à mettre les mesures dans cet ordre est une erreur. Il n’est pas surprenant car dans la cacophonie des autorités le message la plus important, à tenir de la distance, a quasiment disparu des recommandations et dans les médias on ne parle que de masques, où, quand, par qui et cetera.

Pendant tout été il y a en Suède eu beaucoup d’articles argumentant pour masques dans la sphère publique, il y a même eu une pétition signé par des universitaires avec la même revendication. Le centre d’épidémiologie, qui décide sur toutes les mesures de contraire la propagation du virus, (ils sont nombreux), ont toujours répondu que les masques fonctionnent bien dans des laboratoires mais qu’il n’existe pas des preuves scientifiques qu’ils fonctionnent pour atténuer une épidémie très rependue dans un société. L’argument principal est qu’ils risquent à contrarier d’autres mesures. 

Suivant les très inquiétants développements en France et l’Espagne, l’argumentation pour masques a maintenant disparue des journaux suédois.

Amicalement
Ake

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