Poulet au riz livré par un drone

Un plat, poulet au riz, a pour la première fois en Suède été livré par un drone autonome. Il n’y a rien de sensationnelle dedans, ce type de livraison a déjà fait ici et là. Cependant, ce vol a plutôt été une confirmation que le principe est sur le chemin de mûrir. Car, il y tant de problèmes potentielles à considérer, par exemple comment assurer la sécurité du vol même si un des multiples systèmes de navigation soit perturbé.

Donné que cette livraison a été une réussite, le projet de recherche, financé par l'UE AWARD2, est ainsi achevé. Le drone était complètement autopropulsé et il a volé hors de vue, ce qui nécessite un permis spécial de l'Agence des transports. Cette structure impose des exigences strictes en matière de sécurité, mais elle avait exceptionnellement permis ce vol de 7 km, hors de vu.

Le fait que ces vols sont rapide et sans émissions de CO2 les rendent approprié pour les livraisons rapides ou urgentes sans avoir besoin à passer par le système routière. Une application en ville, qui dans quelques ans pourrait devenir une réalité, est livrassions de plats chauds. Des nombreux acteurs se préparent pour cette possibilité à venir.

Le défi n'est plus à concevoir des drones mais à assurer la fiabilité.

Le laboratoire a effectué des centaines de vols d'essai au cours de l'année passée et il a aussi développé un système de sécurité exclusif qui empêche les drones à voler dans des zones interdites ou d'entrer en collision les uns avec les autres.

L'atterrissage doit aujourd'hui être approuvé par une personne sur place avec une application dans un portable. Dans l'avenir, les drones pourront atterrir en toute indépendance, par exemple dans des lieux de travail.

Un concept envisagé est d'avoir un plaque d'atterrissage à l'extérieur d’une fenêtre, que on peut dépliez pour une livraison. Ensuite, quand on rentre chez soi la marchandise est sur place.

Les chercheurs dans ce projet estiment que des livraisons avec drones seront commercialement mises en œuvre d'ici à 2027. Cependant, beaucoup dépend de l'UE qui doit mettre l'infrastructure de la législation nécessaire en place.