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samedi 4 février 2017

Les scientifiques qui racontent une histoire sont plus lus



Il vaut mieux être approximatif et compréhensible qu’exact et incompréhensible. C’est que j’ai pendant beaucoup d’années pratiqué quand j’expliquais des choses thermiques pour des ingénieures en électronique.

Évidemment, cette stratégie serrait catastrophique pour de rapports scientifiques qui doivent être tant exact que possible. Pourtant, le résultat de cette ambition est suivant dure à lire.

Comment façonner les rapports scientifiques pour qu’ils soient attentivement lus ?    

La présentation est importante et les chercheurs devraient abandonner le style crépitement sec. Au lieu il vaut mieux raconter une histoire, ce qu’augmente la probabilité que leurs œuvres auront un impact. C’est la conclusion des chercheurs de l'Université de Washington dans une étude publiée dans la revue scientifique PLOS ONE.

L’étude a analysé les résumés des 732 articles scientifiques en anglais sur le changement climatique. Les chercheurs n’ont pas pris en compte les contenus scientifiques, mais uniquement la façon dont les auteurs se sont exprimés.

Mesuré par le nombre de citations, les plupart des articles faciles à lire étaient aussi les articles avec le plus grand impact. Ces articles se caractérisaient par un élément fort de narration, ils avaient aussi un lien clair entre cause et effet ainsi qu'une invitation directe au lecteur d'agir. Les scientifiques ont aussi pu constater que les revues les plus prestigieuses préfèrent des articles avec un fort élément narratif.

S’il simplement était les astuces narratives qui avaient l’effet, ou s’ils aussi avaient plus de poids scientifique n'était pas étudié.


Nombre de citations et index narratif pour 19 revues

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