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samedi 22 août 2015

Comment nous ne sont pas exterminés


Pour faire fonctionner tout genre d’appareilles frigorifiques il faut un liquide/gaz appelé réfrigérant. Comme explique dans l’image c’est en bas pression que le réfrigérant s’vaporise et absorbe de la chaleur à l’intérieure du frigo. Puis, un compresseur augment la pression du gaz et en condensant il libre ce chaleur à l‘extérieur du frigo. 

Un réfrigérant idéal doit : Avoir un bon rendement thermique, ne pas agresser les matériaux de la conception, rester stable, ne pas être inflammable ou toxique, ne pas trop résoudre d’huile dans le compresseur et être peu chère.

R12

Le réfrigérant idéal n’existe pas mais un groupe qu’on autrefois utilisé beaucoup est commercialement appelé Fréons. Ils sont composés de molécules relativement simples contenant du fluor, F, et du chlore, Cl. Pourtant, dans les années 1980 il a été relevé que le chlore endommage la couche d’ozone, qui haut dans l’atmosphère filtres les plus agressives des rayons ultraviolets. Depuis environ 20 ans l’usage de Fréons est interdit.

Cette décision sage fait que la couche d’ozone lentement se régénère mais il faut encore attendre plusieurs décennies avant que la situation ne soit normale.

C’est dans ce contexte que nous avons échappé à une vraie catastrophe. Car, une option aurait été d’au lieu du chlore utiliser une autre substance du même groupe, le brome, Br, dans les réfrigérants. Brome est 45 – 100 fois plus agressif contre la couche d’ozone que le chlore.

Ce non-fait mène à l'idée cauchemardesque que si l'industrie chimique, dans son ignorance des néfaste impacts de certaines produits sur la couche d’ozone, avait mis au point des réfrigérants avec brome, nous aurions été grillé par des rayons ultraviolets et probablement exterminés.

Donné que les Fréons sont utilisé depuis les années 1930, ce catastrophe aurait, selon une estimation, pleinement nous frappé vers les années 1970. C’est-à-dire avant que les chimistes atmosphériques avaient développé les connaissances nécessaires pour identifier le problème.

Il est à noter que ne personne pensait aux conséquences atmosphériques de la libération de chlore ou de brome avant 1974.

L’humanité a été extrêmement chanceuse.

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