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samedi 6 juin 2015

Le cerveau n’est plus une boite noire



La psychologie comme discipline s’est débranchée de la philosophie dans des années 1870. Depuis lors, et jusqu’au nos jours, les psychologues ont examiné le cerveau humain comme une boite noire. C’est-à-dire qu’elles le stimulaient, par exemple avec questions, images, textes ou sons, puis elles évaluaient ce qui sortait, la réaction. C’est par ce méthode que les psychologues pendant des décennies ont essayé de de se faire une image sur le fonctionnement du cerveau.

Ce mode de recherche a relativement bien réussi avec les diagnoses. La liste de conditions mentales est longe. Une personne peut par exemple être névrotique ou psychotique, ou comme la plus part de nous absolument normale et seulement souffrants de quelques addictions.

Cependant, les réussites des traitements ne sont pas si spectaculaires et les représentants de différentes orientations de thérapies ont suivant était comme chat et chiens. Un exemple est la psychanalyse et la thérapie cognitive. La dernière est plus moderne et à l’introduction elle a était accusé de conditionner des personnes comme on conditionne des chiens.

Maintenait nous savon que certaines phobies, par exemple peur de araignées, suivant ne sont que des fantômes du cerveau. Dans ces cas la thérapie cognitive fonctionne bien. Mais, il se peut aussi qu’une phobie a des raisons plus profondes et que le traitement n’a aucun effet.

Des progrès scientifiques ont maintenant nous donné une possibilité de voir ce qui se passe dans le cerveau et ce fait a changé la donne.

En étudiant le cerveau par résonance magnétique on peut maintenant savoir si un patient souffrant d’une phobie sociale est sensibles à la thérapie cognitive ou non. C’est qui montre une nouvelle étude de l'Université de Linköping. Les cerveaux de  26 personnes, atteintes de troubles d'anxiétés sociales, ont préliminairement été examinés par résonance magnétique lorsqu’elles lisaient des textes d’autocritiques.

Puis, ils étaient traités par thérapie cognitive sur internet pendant 9 semaines. Le résultat était évalué un an plus tard. Les chercheurs ont pu constater qu’il existe une corrélation entre le type d’activité cervicale enregistré pendant la première phase du test et les progrès thérapeutique. Elle est si fort que c’est maintenant possible d’avec 92% certitude prédire si une personne souffrant d’une phobie sociale répondra favorablement à la thérapie cognitive ou non.

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